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domenica 7 dicembre 2008

Le nouvel erotique

Cette chaise maudite aux roulettes.
J'avais seize ans environ quand le sort me relégua sur une chaise aux roulettes. La famille, les amis et toutes les connaissances se sont voisines et il est encore maintenant tout. je me suis décidé à divulguer mon histoire en contactant ilgobbetto" qu'il me fait de par, puisque je suis convaincu qu'elle ne sera pas la seule dans sa singularité, mais je crois emblématique la d'une situation de privation pour nous paraplégiques. J'avais vingt et un ans et tous maintenant ils me secondaient, empressés mais, personne n'osait penser qu'au milieu des jambes mort fût vie, vie pulsative et désir mâle maintenant d'avoir et faire du sexe, tous bien prises par la mission humanitaire "des fées frères". De ceci en s'aperçut ma mère que trois fois la semaine il me faisait le bain dans la vasque, avec un effort physique considérable. Malheureusement et je dis les passages malheureusement avec l'éponge dans l'eau chaude ils représentaient pour moi le contact unique que j'eusse avec les miens génitaux, d'ici la réaction incontrôlable et mortifiante pour moi et ma mère aussi. L'histoire on perpétrait depuis temps maintenant et un après-midi en le pendant que la maman essuyait tout me nu passa la serviette sur le pénis droit, j'étais embarrassé et rougi en visage pour l'excitation et pour la honte. Ma maman elle aussi mortifiée, il baissa le regard au sol et en me murmurant je t'ai aussi compris tu as besoin" en… il prise entre les mains la bite et, toujours en tenant je fixe le regard au sol, il prise à me masturber avec légèreté et douceur infinie. Le contact était pour moi agréable et le souffle haletant était incontrôlable maintenant, la maman dit ne te pas retenir, laissé aller" peu après sous les caresses expertes j'entendis m'écouler du pénis du liquide, la sensation était semblable mais, pas égal à la miction, mais très plus belle. J'eus un état d'assouvissement sublime après, elle me prit entre les bras et à l'habituel il m'étendit dans la chaise omniprésente. Il m'enlaça et en le faire je l'entendis ses larmes leur courir longueur les joues. Je l'embrassai. Je l'aimais immensément, je ne savais pas comment le lui dire au moins qu'avec un baiser. Nous étions dans la cuisine et, l'air elle on pouvait couper avec le couteau beaucoup d'ère lourde. Il y avait des moments dans lequel la maman ne réussissait pas à me soutenir sur le regard comme avant. Dans l'après-midi je l'observai pendant qu'il s'affairait en feuilletant un journal local, il lisait les dernières pages, convaincue que je fusse but à suivre la télévision. Le vendredi jour suivant du bain, je vis avec satisfaction qu'elle était sereine enfin: qu'il eût aussi accepté le fardeau du devoir me masturber deux fois la semaine? Elle en était passée seulement une depuis la première fois. Pendant le bain et le séchage suivant, il ne se soigna pas ou mieux pas du tout de d'état d'excitation de le mon bite, il l'ignora du tout. Il m'accompagna après dans le petite chambre, où je résidais, que j'avais je mets un peignoir seulement. Il s'assit devant et il me parla avec embarras le plus évident qui pût se maquiller sur le visage, en mâchonnant les mots et en les aidant avec les gestes:
... tu vois, je ne peux pas continuer à te faire ces choses, comme les fois passées il est arrivé. Je suis ta mère et pour l'amour qui t'apporte, je donnerais tout mais, vraiment tout le sang de mes veines, si je pouvais arrêter le temps jusqu'à le le jour de l'arrivé. tu Sais que ceci n'est pas possible! Alors j'ai payant convoqué pour toi une fille, du journal des annonces. Elle te donnera la satisfaction sexuelle qui te nie. Évidemment la somme demandée j'en échange elle est substantielle pour lequel ne sera pas possible de la convoquer souvent, mais avec un autre sacrifice, je peux te donner au moins cette joie, que je comprends être seulement un palliatif très bien. Pour ce bientôt elle viendra et vous vous fermerez dans ta chambre. Si quelque chose ne va pas, ou la chose en général ne te plaît pas, appelle moi et moi j'interviens. Entendu? Est-ce qu'il va bien? ". J'acquiesçai d'un signe de la tête en tournant le regard au plancher.
La sonnette trilla et la fille vint dans le salon en avant où je l'attendais. Bruna, sèche, avec les talons à l'épingle, pansée dans una mise délicieux, truquée avec air professionnel il prit place pendant que ma mère fit les présentations. Ils s'écartèrent quelque instant à comploter pour puis venir où j'étais j'à leur attendre. Chiara dit de s'appeler, il prise la chaise aux roulettes en les dirigeant dans mon petite chambre. Il fermée la porte à ses épaules et comme il devait les avoir indiqué ma mère il me déposa sur le lit en laissant tomber en terre le peignoir. il Monta sur le lit en me caressant déjà le sexe gonflé dans l'attente. Pour la première fois je vis, j'entendis ou mieux, la chaleur et le plaisir de la bouche d'une femme qu'il mangeait mon bite! Il était splendide simplement, splendide. Il m'envoya jamais en extase ce contact éprouvé premier de cette époque. je me quittai aller à ses spécialistes remua, je guettais avide son sexe qu'il tenait caché entre les jambes, j'essayais une curiosité irrésistible en le vouloir voir comme il était fait le sexe d'une femme, une femme vraie, pas comme ce des jeune, rappelle de l'enfance passée! Chiara me fit jouir énormément avec la bouche avant de prendre de son sac une affaire comme un ballon allongé qui voulut appliquer sur le pénis droit avec beaucoup d'attention et hâte, en lui faisant glisser jusqu'à la la base de façon à le recouvrir entièrement. Il monta en les mettant califourchon sur mon corp, en les enfilant dans le pénis, puis s'il le fit glisser dans son corps entièrement. La chaleur et la sensation de pression autour à mon sexe, c'était la fin du monde vraiment. Elle ne se leva pas de cette position, il commença à glisser ou mieux j'assume dans un mouvement de devant et en arrière rythmique en accélération légère mais constante. Je jouissais comme pas jamais sous ses mouvements adroits de professionnel du sexe! Il m'apportait jusqu'à les les seuils de l'orgasme pour puis s'arrêter en attentes spasmodiques et exaspérantes. Elle était bonne vraiment dans son travail. J'observais les tétons sautiller et son bassin fléchir et se courber dans le mouvement de va-et-vient. Il me porta à l'orgasme qui délirais presque avec la bouche collée à ses tétons pendule. Je vins comme un fleuve en crue, plusieurs fois avec le souffle haletant. Elle ralentit la course avec de la gradualité jusqu'à s'arrêter du tout. Un peu resta encore en les tenant dans mes peines je gonfle encore, puis cependant il se leva et je vis le chatte d'une femme enfin rouquine ouverte et tout. Chiara m'enleva le préservatif qui renfermée en un ils roulent de kleenex, puis il m'apporta de nouveau sur la chaise aux roulettes jusqu'à le le bain où il me lava maintenant soigneusement le pénis flasque. J'étais heureux vraiment, pour un instant seul j'ai savouré celui-là qui m'avaient soustrait! Chiara allé ailleurs salué après m'avoir murmuré dans l'oreille":… tu es bien mis, tu as un très beau membre"… il alla en avoir empoché la somme négociée avec ma mère après. Il était vrai, nous ne pouvions pas nous permettre fréquemment cette dépense, je ne pouvais pas non plus cependant permettre à ma mère de faire autres sacrifices. Nous étions dans une ruelle aveugle.
Lundi matin vint chez nous une vieille connaissance de la maman, au moins il avait ainsi dit. Ils s'écartèrent en complotant avec animation, certains qui fusse distrait de l'écouter musique avec les coiffes échangèrent caresses sur le visage. Ils descendirent faire des courses avec, ils me dirent. Ils se connaissaient depuis le troisième et deuxième classe pour puis perdre de vue quand elles s'étaient fiancées. Vous incontrarono à une cérémonie d'une connaissance commune qu'elle les avait invitées, et ils restèrent là toute la soirée à ressasser les vieux temps. Ils revinrent quelque heure après, Lara nous salua en promettant qu'elle serait revenue au lendemain jour de mon bain usuel. Tu verses les dix du matin la trille de la sonnette, il annonça que Lara était arrivé. Il entra avec un plateau d'amulettes chaudes fumantes, de la pâtisserie locale, et que puis nous aurions usé, il se déclara. La maman et Lara se consacrèrent à faire pour préparer mon bain et la pensée seule que je pusse être aidé par l'amie de la maman, il m'apporta un découragement qu'il me rendit sombre et pensif. Dans le bain il me nous traîna la maman cependant, aussi Lara nous suivit et il l'aida à m'enlever les habits qui jetèrent dans le panier du linge sale. J'étais embarrassé et, l'être submergé complètement dans l'eau et savon il me donna un seppur défense éphémère. La maman et Lara s'aidèrent en les alternant entre l'éponge et le me soutenir mutuellement. Il passait l'éponge avec insistance Lara, entre mes jambes, et le contact me procura malheureusement l'érection maudite du bite qui manque à dire il le sortait dehors avec la chapelle de l'eau et de la mousse comme le périscope d'un sous-marin fantôme. Le jeu de regard entre les deux ne me fuit pas, ceci me confirmait que le tout était architecturé bien et, ils suivaient une sorte d'exemple agencée à la petite table! Ils m'apportèrent pas sur le lit de mon petite chambre, mais en ce de la maman qui avait détendu sur lui un vieux drap frotté. Là détendu et nu comme un ver, Lara se consacra à faire avec des poussières et déodorants, assistée par la maman, cependant, de temps en temps il donnait des petits coups avec l'empan de la main au pénis droit et gonflé. Le jeu passé l'initiale trouble, il commença à me plaire. Lara était une gros femme, si comparé à l'illustration élancée de ma maman, poitrine avait beaucoup plus et, beaucoup de, beaucoup de beau culo pansé par la jupe elasticiseé qu'il en soulignait les formes. Le jeu se fit sérieux, sous les yeux de la maman, Lara prit le mon bite entre les mains et il le masturba doucement en découvrant la chapelle rouge et brillante entière, il regarda fixe me dans les yeux pour en lire l'approbation, donc décidée, il lécha la pointe et pin plat s'il le fourra en bouche, comme la call-girl fit. Lara suçait et de temps en temps il regardait la maman assise à l'autre côté du lit. Il s'arrêta en les levant pour se déshabiller à son tour, en laissant tomber les habits sur le plancher. Il monta sur le lit toute nue avec les poupes au vent et les cul, il se plaça en avant avec le cul à l'air, en recommençant à sucer en continuant à regarder ma maman comme s'il dût partir une scène qu'il ne partait pas. déterminée se leva et, califourchon me montée sur le visage il me plaça son sexe rouge je vis, avec deux grosses lèvres extérieures et une grande excroissance minuscule comme la phalange d'un doigt, vraiment en haut au point d'attache de la fente avec la partie extérieure. Il me pressait sur le visage, humide et mouillée par un exsudat collant de l'odeur forte et agréable. Prends-toi à lécher en nous enfilant plus dans la langue que je pouvais, il était très beau simplement, parce qu'elle sembla répondre en les remuant à cette chose que je faisais pour la première fois! Après pas mal de temps Lara glissa un bas en me découvrant le visage qui laissa tout englué d'humeur de son fica, je pus ainsi les voir que, étreintes s'embrassaient avec la langue furieusement en bouche! Lara était en train de déshabiller à la lettre ma maman, qu'il répondait avec la même luxure à son tour. Il se faufila dans la fente le pénis tostissimo astucieux, et sans cette espèce de ballon que la fille m'avait enfilé l'autre il tourne. La sensation était mille fois plus intensa; bellissima. Je le baisent qui en les remue sur et en bas en les empalant sans retenue et en soupirant. Ma maman s'était derrière baissée d'elle cachée à mes yeux, mais j'entendais qu'il était en train de lui lécher le culo et le fica qui coulait sur mon cazzo. J'imaginai que mêmes en léchant la même bave que j'avais léché de son fica, j'eus encore le plus grand poussé sexuel. Ils s'arrêtèrent, il fit détendre ma maman, sur le lit de travers et sans se désenfiler le pénis du chatte il se baissa je verse d'elle aux cuisses ouvertes, je vis ainsi pour la première fois le chatte de mon jeune maman, en la léchant avec beaucoup de transport que j'il sembla il voulût la dévorer! Il était trop, je ne soutins pas ultérieurement, à cette scène érotique, j'entendis le jet qui coulait dans le corps de Lara, le liquide sembla il ne dût pas finir jamais, Lara l'avertit pour celui-ci il s'arrêta en les serrant sur mon corp en les maintenant presque collée. Il se leva avec mille précautions en serrant les lèvres de son chatte avec l'index et les flots moyens ne pas faire couler le sborra. Vous positionna sur le visage de mon jeune maman, et il ouvrit les doigts en laissant couler un ruisseau de sperm , la maman il lécha tout et vous saisissez les lèvres extérieures énormes du chatte de Lara il les avala en suçant et la tête qui en flotte de-ci de-là. Ils me laissèrent à l'écart, les deux amants, en les positionnant en soixante-neuf et je peux lui dire avec toute franchise, ils nous donnèrent dans comme deux possédées. Lara convainquit ou mieux, il força ma maman à me sucer le pois, quand ivre terminé leur deux, pois qu'avec elle, il avait une sorte de filing, à la figure du néologisme, parce que tout de suite il reprise vigueur en devenant dur, Lara il montait comme s'il eût un son bite tout et avec lui il pénétrât dans le cul, ma maman détendue avec le ventre sur le lit et absorbée à me sucer. Quand on s'aperçut qu'il s'était fait beau dur, il la souleva de poids en l'enfilant sur mon bite en me donnant cependant les épaules; elle Lara, on positionna devant étendue à lécher la chatte de ma maman qu'il coulait sur mon bite droit. Il continua à pomper, elle était bonne aussi ou peut-être de plus ma maman, je lui demandai de se tourner, elle le fit doucement, en les détendant sur mon corps, toujours en les tenant dans mon cazzo, cette fois-ci je l'embrassai en explorant sa bouche avec la langue, elle répondait de la même façon, si puis il me fit sucer ses seins aussi. Oui, le donneé le sperm dedans, longuement, passionnément, quand j'entendis qu'elle était emportée par orgasmes continus maintenant.
Ils me lavèrent et ils habillèrent, puis nous nous liâmes dans une embrassade trino, en nous embrassant mutuellement sur le visage et en bouche. Puis elle est devenue une coutume douce ces rencontres. Lara et ma maman étaient déjà restées amant de filles, un peu de lesbiennes, un peu d'etero, ce beaucoup qui ça suffit pour rendre beau et pas ennuyeux un rapport. Merci!

Racconti:Quella maledetta sedia a rotelle.

Avevo circa sedici anni quando la sorte mi relegò su di una sedia a rotelle. La famiglia, gli amici e tutti i conoscenti mi sono stati vicini ed ancora lo sono tutt’ora. Mi sono deciso a divulgare la mia storia contattando “ ilgobbetto” che mi fa da tramite, giacché sono convinto che essa non sarà l’unica nella sua singolarità, bensì la ritengo emblematica di una situazione di disagio per noi paraplegici. Avevo ormai ventuno anni e tutti mi assecondavano, premurosi ma, nessuno osava pensare che in mezzo alle gambe ormai morte, vi fosse vita, vita pulsante e desiderio maschio di avere e fare del sesso, tutti presi dalla missione umanitaria “del fate bene fratelli”. Di ciò se ne avvide mia madre che tre volte la settimana mi faceva il bagno nella vasca, con un notevole sforzo fisico. Purtroppo e dico purtroppo i passaggi con la spugna nell’acqua calda rappresentavano per me l’unico contatto che avessi con i miei genitali, di qui la reazione incontrollabile e mortificante per me e mia madre pure. La storia si perpetrava da tempo ormai ed un pomeriggio nel mentre la mamma mi asciugava tutto nudo, passò l’asciugamano sul pene ritto, io ero imbarazzato ed arrossito in viso per l’eccitazione e per la vergogna. La mia mamma anch’essa mortificata, abbassò lo sguardo al suolo e sussurrandomi “ ho capito anche tu ne hai bisogno…” prese tra le mani il cazzo e, sempre tenendo fisso lo sguardo al suolo, prese a masturbarmi con leggerezza ed infinita dolcezza. Il contatto era per me piacevolissimo ed ormai il respiro affannoso era incontrollabile, la mamma disse “ non trattenerti, lasciati andare” poco dopo sotto le carezze esperte sentii defluire dal pene del liquido, la sensazione era simile ma, non uguale alla minzione, ma molto più bella. Dopo, ebbi uno stato di eccelso appagamento, ella mi prese tra le braccia ed al solito mi adagiò nell’onnipresente sedia. Mi abbracciò e nel farlo sentii le sue lacrime correrle lungo le gote. La baciai. L’amavo immensamente, non sapevo come dirglielo se non altro che con un bacio. Eravamo nella cucina e, l’aria la si poteva affettare col coltello, tanto era greve. C’erano dei momenti in cui la mamma non riusciva a sostenere su di me lo sguardo come prima. Nel pomeriggio la osservai mentre armeggiava sfogliando un giornale locale, leggeva le ultime pagine, convinta che io fossi intento a seguire la televisione. Il venerdì successivo giorno del bagno, vidi con soddisfazione che era finalmente serena: che avesse accettato anche il fardello del dovermi masturbare un paio di volte la settimana? Ne era trascorsa soltanto una dalla prima volta. Durante il bagno e la successiva asciugatura, non si curò affatto dello stato di eccitamento del mio cazzo anzi, lo ignorò del tutto. Dopo mi accompagnò nella cameretta dove risiedevo, che avevo indosso soltanto un accappatoio. Mi si sedette davanti e mi parlò con il più evidente imbarazzo che potesse dipingersi sul viso, biascicando le parole ed aiutandosi coi gesti:
“ ...vedi, non posso continuare a farti quelle cose, come è accaduto le volte passate. Io sono tua madre e per l’amore che ti porto, darei tutto ma, proprio tutto il sangue dalle mie vene, se potessi fermare il tempo fino al giorno dell’accaduto. Sai che ciò non è possibile! Allora ho convocato per te una ragazza a pagamento, dal giornale degli annunci. Ella ti darà la soddisfazione sessuale che la vita ti nega. Ovviamente la somma chiestami in cambio è sostanziosa per cui non sarà possibile convocarla spesso, ma con un ulteriore sacrificio, posso donarti almeno questa gioia, che capisco benissimo essere solo un palliativo. Per questo tra poco ella verrà e vi chiuderete in camera tua. Se qualcosa non va, oppure la cosa in generale non ti garba, chiamami ed io intervengo. Capito? Va bene? “. Annuii volgendo lo sguardo al pavimento.
Il campanello trillò e la ragazza venne avanti nel salotto dove io l’aspettavo. Bruna, asciutta, coi tacchi a spillo, fasciata in un vestitino delizioso, truccatissima con aria professionale si accomodò mentre mia madre fece le presentazioni. Si appartarono qualche istante a confabulare per poi venire dov’ero io ad attenderle. Chiara, disse di chiamarsi, prese la sedia a rotelle dirigendosi nella mia cameretta. Chiuse la porta alle sue spalle e come doveva averle indicato mia madre mi depose sul letto lasciando cadere in terra l’accappatoio. Salì sul letto accarezzandomi il sesso gonfio già nell’attesa. Per la prima volta vidi, anzi sentii, il calore ed il piacere della bocca di una donna che mangiava tutto mio cazzo! Era semplicemente splendido, stupendo. Mi mandò in estasi quel contatto mai provato prima d’allora. Mi lasciai andare alle sue esperte mosse, spiavo avido il suo sesso che teneva nascosto tra le gambe, provavo un’irrefrenabile curiosità nel voler vedere com’era fatto il sesso di una donna, una donna vera, non come quello delle ragazzine, ricordi della passata fanciullezza! Chiara mi fece godere moltissimo con la bocca prima di prendere dalla sua borsetta un affare come un palloncino allungato che con tanta attenzione e premura volle applicare sul pene eretto, facendolo scivolare fino alla base, in modo da ricoprirlo per intero. Salì ponendosi cavalcioni sul mio pube, infilandosi dentro il pene, poi se lo fece scivolare per intero nel suo corpo. Il calore e la sensazione di pressione intorno al mio sesso, era davvero la fine del mondo. Ella non si alzò da quella posizione, anzi cominciò a scivolarmi addosso in un movimento di avanti ed indietro ritmico in lieve ma costante accelerazione. Godevo come non mai sotto le sue abili mosse da professionista del sesso! Mi portava fino alle soglie dell’orgasmo per poi fermarsi in attese spasmodiche ed esasperanti. Era davvero brava nel suo lavoro. Osservavo le tette ballonzolare ed il suo bacino flettere ed incurvarsi nel moto di andirivieni. Mi portò all’orgasmo che deliravo quasi con la bocca incollata alle sue tette pendule. Venni come un fiume in piena, ripetutamente con il respiro affannoso. Lei rallentò la corsa con gradualità fino a fermarsi del tutto. Stette ancora un poco tenendosi dentro il mio pene ancora gonfio, poi però si alzò e finalmente vidi la fica di una donna aperta e tutta rossa. Chiara mi tolse il preservativo che racchiuse in un rotolino di kleenex, poi mi portò di nuovo sulla sedia a rotelle fino al bagno dove mi lavò accuratamente il pene oramai flaccido. Ero felice davvero, per un solo attimo ho assaporato quello che la vita ed il destino mi avevano sottratto! Chiara andò via salutandomi dopo avermi sussurrato nell’orecchio: “ …sei ben messo, hai un bellissimo membro…” se ne andò dopo aver intascato la somma pattuita con mia madre. Era vero, non potevamo permetterci quella spesa frequentemente, non potevo però neanche permettere a mia madre di fare ulteriori sacrifici. Eravamo in un vicolo cieco.
Lunedì mattina venne da noi una vecchia conoscenza della mamma, almeno così aveva detto. Si appartarono confabulando animatamente, certe che io fossi distratto dall’ascoltare musica con le cuffie, si scambiarono carezze sul viso. Scesero insieme a fare delle compere, mi dissero. Si conoscevano fin dal ginnasio per poi perdersi di vista quando si erano fidanzate. Si rincontrarono ad una cerimonia di una comune conoscente che le aveva invitate, e lì stettero tutta la serata a rivangare i vecchi tempi. Ritornarono qualche ora dopo, Lara, ci salutò promettendo che sarebbe ritornata all’indomani, giorno del mio usuale bagno. Versi le dieci del mattino il trillo del campanello, annunciò che Lara era giunta. Entrò con un vassoietto di cornetti caldi fumanti, della locale pasticceria, e che avremmo consumato poi, si disse. La mamma e Lara si diedero da fare per preparare il mio bagno, ed il solo pensiero che potessi essere aiutato dall’amica della mamma, mi portò uno sconforto che mi rese cupo e pensieroso. Nel bagno mi ci trainò la mamma tuttavia, anche Lara ci seguì e l’aiutò a togliermi gli abiti, che buttarono nel cesto della biancheria sporca. Ero stramaledettamente imbarazzato e, l’essere sommerso completamente nell’acqua e sapone mi diede una seppur labile difesa. La mamma e Lara si aiutarono vicendevolmente alternandosi tra la spugna ed il sostenermi. Passava la spugna con insistenza Lara, tra le mie gambe, e purtroppo il contatto mi procurò la stramaledetta erezione del cazzo, che manco a dirlo fuoriusciva con la cappella fuori dall’acqua e dalla schiuma come il periscopio di un fantomatico sommergibile. Il gioco di sguardo tra le due non mi sfuggì, ciò mi confermava che il tutto era ben architettato e, seguivano una sorta di falsariga congegnata a tavolino! Mi portarono sul letto non della mia cameretta, bensì in quello della mamma, che aveva disteso su di esso un vecchio lenzuolo stropicciato. Lì disteso e nudo come un verme, Lara si diede da fare con polveri e deodoranti, assistita dalla mamma, però, ogni tanto dava dei colpetti col palmo della mano al pene ritto e gonfio. Il gioco, passata l’iniziale turbamento, cominciò a piacermi. Lara era un donnone, se confrontato alla figura slanciata della mia mamma, aveva molto più petto e, tanto, tanto bel culo fasciato dalla gonna elasticizzata che ne sottolineava le forme. Il gioco si fece serio, sotto gli occhi della mamma quiescente, Lara prese il cazzo tra le mani e dolcemente lo masturbò scoprendo l’intera cappella rossa e lucida, mi guardò fisso negli occhi per leggerne il gradimento, quindi decisa, leccò la punta e pino piano se lo ficcò in bocca, come fece la ragazza squillo. Lara succhiava e di tanto in tanto guardava la mamma seduta all’altro lato del letto. Si fermò alzandosi per spogliarsi a sua volta, lasciando cadere gli abiti sul pavimento. Salì sul letto tutta nuda con le poppe ballonzolanti, e le chiappone toste, mi si parò innanzi col culo all’aria, riprendendo a succhiare continuando a guardare la mia mamma come se dovesse partire una scena che non partiva . si alzò determinata e, salitami cavalcioni sul viso mi piazzò il suo sesso rosso vivo, con due grosse labbra esterne ed una minuscola escrescenza grande come la falange di un dito, proprio in alto all’attaccatura della fessura con la parte esterna. Mi premeva sul viso, umida e bagnata da un essudato appiccicoso dall’odore forte e gradevole. Presi a leccare infilandoci dentro la lingua più che potevo, era semplicemente bellissimo, perché ella sembrò rispondere muovendosi a quella cosa che facevo per la prima volta! Dopo parecchio tempo Lara scivolò un basso scoprendomi il viso, che lasciò tutto invischiato di umore della sua fica, così potei vederle che, strette si baciavano furiosamente con la lingua in bocca! Lara stava denudando letteralmente la mia mamma, che a sua volta rispondeva con la stessa lussuria. Si infilò dentro la fessura il pene dritto tostissimo, e senza di quella specie di palloncino che la ragazza mi aveva infilato l’altra volta. La sensazione era mille volte più intensa;bellissima. Mi chiavava muovendosi su e giù impalandosi senza ritegno e sospirando. La mia mamma, si era chinata dietro di lei nascosta ai miei occhi, ma sentivo che le stava leccando il culo e la fica che scorreva sul mio cazzo. Immaginai che stesse leccando la stessa bava che avevo leccato io dalla sua fica, ebbi ancora una maggiore spinta sessuale. Si fermarono, fece distendere la mia mamma, sul letto di traverso e senza sfilarsi il pene dalla fica si chinò verso di ella a cosce aperte ( vidi così per la prima volta la fica della mia mammina) leccandola con tanto trasporto che mi sembrò volesse divorarla! Era troppo, non ressi ulteriormente, a quella scena erotica, sentii il getto che fluiva dentro il corpo di Lara, il liquido sembrò non dovesse finire mai, Lara lo avvertì per questo si fermò stringendosi sul mio pube mantenendosi quasi incollata. Si alzò con mille cautele, stringendo le labbra della sua fica con l’indice ed il medio onde non far colare la sborra. Si posizionò sul viso della mia mammina, e aprì le dita lasciando colare un rivolo di sborra lattiginosa, la mamma leccò tutto e afferrate le labbra esterne enormi della fica di Lara le ingoiò succhiando ed ondeggiando il capo di qua e di là. Mi lasciarono in disparte, le due amanti, posizionandosi nel classico sessantanove e posso dirlo con tutta franchezza, ci diedero dentro come due ossesse. Lara convinse anzi, forzò la mia mamma a succhiarmi il pisello, quand’ebbro terminato loro due, pisello che con lei, aveva una sorta di filing ( alla faccia del neologismo!) perché riprese subito vigore divenendo duro, Lara montava come se avesse un cazzo tutto suo e con esso penetrasse nel culo, la mia mamma distesa con il ventre sul letto ed intenta a succhiarmi. Quando si avvide che s’era fatto bello duro, la sollevò di peso infilandola sul mio cazzo dandomi però le spalle; lei Lara, si posizionò davanti distesa a leccare la fica della mia mamma che scorreva sul mio cazzo eretto. Continuò a pompare, era brava anche o forse di più la mia mamma, le chiesi di voltarsi, lei dolcemente lo fece, distendendosi sul mio corpo, sempre tenendosi dentro il mio cazzo, la baciai stavolta esplorando la sua bocca con la lingua, ella rispondeva allo stesso modo, così poi mi fece succhiare anche i suoi seni. Sì, le godetti dentro, lungamente, appassionatamente, quando sentii che lei oramai veniva travolta da continui orgasmi.
Mi lavarono e vestirono, poi ci legammo in un abbraccio trino, baciandoci vicendevolmente sul viso ed in bocca. Poi è divenuta una dolce consuetudine quegli incontri. Lara e la mia mamma, erano state amanti già da fanciulle, un poco lesbiche, un poco etero, quel tanto che basta per rendere bello e non stucchevole un rapporto. Grazie!