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venerdì 12 dicembre 2008

Deux annè au Matabeleland 1

La convocation me joignit quand je ne nous espérais pas maintenant plus. Mois j'avais fait avant demandé, de déplacement au bureau du personnel de l'usine où je travaillais d'au-delà dix ans. L'usine s'occupait et maintenant il s'occupe tout, du travail de l'aluminium primaire, et dans le Matabeleland, il y avait une succursale qu'il opérait en synergie avec le siège italien. Les cinq jours de préavis, les passés dans les préparatifs, dans les acquisitions qui n'aurais pas pu faire dans ce pays.
L'avion se leva en vol en passant sur les toits de la banlieue de Rome, direct au sud. Il traversa le trait de mer qu'il sépare la Sicile de l'Afrique en peu de temps, puis en bas, le long du noir continent, direct à l'escale premier: Le Caire, en Egypte, puis à Khartoum dans le Soudan, donc au Kigali, et enfin à Harare dans le Zimbabwé destination finale de mon voyage. De l'aéroport de la capitale, en train même au Kodoma, d'où avec des vieux demi de transport on atteignait Umguza, une petite ville mixte de gratte-ciel, maisons coloniales et baraques, semblables aux taudis des favelas brésiliens.
L'usine entourée et écran surveillé était moderne; le long de la rue, file de poids lourds, quelques-uns à moi de marque inconnue attendait leur tour pour charger ou décharger. L'esplanade intérieure était encombrée de piles de gros hauts-de-forme d'aluminium, longs tu es environ ou sept mètres. du diamètre de vingt ou peu plus centimètres, autour à qui grue et chariots élévateurs étaient occupés à la charge des demi, autres par contre, charges de minéral terreux entraient et ils sortaient déchargements en. Dans cette confusion chacun l'attendait au devoir assigné sans flâner comme on peut souvent, assister dans les postes de travail en Italie. J'ambientai en bref temps grâce à les gens qui opéraient déjà en usine dont une de la province de Cosenza, aimable et sociable, beaucoup qui commençâmes à faire couple fixe, en l'après travail et qu'il me fit à cicérone.
Après quelque semaine le sujet sexe vint à la rampe, car le manque de rapports exigeait la contribution dûe. Nuccio, diminutif de Carmine, il se prodigua à me mettre sur le qui vives en ce qui concerne les rapports avec les résidents. Les maladies, les contagions la prostitution, la contrebande de tout puisse avoir un bien que moindre valeur.
Nous sortions quelque soir pour le tour des pièces sûres, peut-être à la recherche de viande blanche" pour le lit. Résulté: zéro! Viande blanche unique était habillée d'habits talari (!), et dans les associations de volontariat le sexe, totalement bandit, mon Dieu, tous tendus à se racheter l'âme! nous nous tînmes lointains de ces cercles visqueux comme la poix.
Un soir dans la pièce habituelle, à la partie les prostituées baby, une blonde mûre détachait là en demi comme neige sur le sommet d'une montagne. Nuccio l'accrocha facilement, le peu d'Anglais à notre disposition permit y de passer une soirée différente. Maggie se révéla ouvert et dépourvue de préjugés inutiles. Attribuée un titre universitaire au Liverpool University, en anthropologie et biologie, il l'avait aussi difficulté en le fréquenter amitiés masculines en ayant horreur pour problèmes de goûts les autochtones. Il avait repoussé rapports avec des hommes noirs, il ne cherchait pas les dimensions dans le sexe, plutôt il s'abstenait son, et en le lui dire il nous tenait à souligner qu'il en ne faisait pas un problème racial. Vous était, il nous dit, contentée de quelques rapports lesbo avec blanches, mais rien noir.
Tard il se fit, Maggie nous dirigea près de son domicile que cependant il était à quelque kilomètre éloigné, hors ville, direction Kwekwe, la grosse Jeep voyageait en courant le long des rues poussiéreuses et désertes à la vitesse forte. Maggie, dans la pièce on était égoutté différents drink, mais il va de soi qui était une routinière; Nuccio la palpait, assis à sa hanche et il m'invitait à leur palper encore les tétons durs, malgré l'âge mûr. Maggie guidait en soupirant dessous fort l'effet des caresses des deux, celles de Nino ils étaient de certain plus audacieux, beaucoup qui maintenant avec une main, sur la chatte. Nous joignîmes à la destination environ dans une paire d'heures. La maison était en style colonial, peinte de blanc, immergée dans l'obscurité de la nuit africaine; la banlieue de Lupane n'était pas très différente de nombreuses autres banlieues du monde, mais celle-ci avait en plus le fait qui ne vivait pas de propre lumière, mais du ciel éclairé en éloignement du riche centre citadin, ceci détachait la maison de paysans de l'obscurité environnante.
Nous entrâmes en maison précédée par Maggie, tout de suite en montant à l'étage supérieur, en laissant les lumières alluma le long du trajet, la jeep, arrêté de bancal devant l'entrée, la porte fermé sans vous envoyez. Le perron en bois avec balustrade du même matériel était pas en conditions excellentes. L'étage supérieur se composait différents milieux, la chambre à coucher, le couloir montrait sur le derrière au bout de, premier de celle-ci, un salon et une salle à manger, un salon avec un balcon ouvert, qu'il donnait sur le côté antérieur du bâtiment. Nous nous jetâmes sur le lit en laissant les habits éparpillés pour la maison, Maggie il se donnait aux deux, et pas parce qu'en proie aux fumées de l'alcool, mais, et affamée de sexe avec des hommes blancs n'importe pas surtout, si Anglais, Américains ou peut-être quel nationalité pourvu que blancs de peau. Certainement nous italiens nous ne pouvions pas nous dire blancs, le soleil africain il nous brûla en nous bronzant, mais parbleau, nous étions toujours aussi blancs!
Maggie nu, ouverte il restait sur Nuccio, la bite fourré dans la chatte blond m'offrait les fesses, j'infoiato de la longue abstinence, je léchai le cul et prudent je leur enfilai dans le pénis. le baiseè pendant qu'elle passait sur Nuccio la luxure de la pénétration double. Après peu minutes, en ne pouvant plus maintenir l'orgasme, donne la longue abstinence, je me relaxai au flot du plaisir et les je versai le sperme dans le cul. Il se détendit à peine la bite, il s'écoula du trou, je me rendis dans le bain voisin pour me laver dessous l'eau courante, pendant que Nuccio claquait la bite dans la chatte de Maggie, je les entendais dévider, hurler, les inciter à l'événement.
Le bruit frappa net mes oreilles, malgré le vacarme qui produisaient, parcouru le couloir nu avec le pénis ,penché qu'il claquait entre une cuisse et l'autre, jusqu'à le le balcon du salon, je me montrai circonspect avec le coeur en gorge, devant la jeep, une auto détraquée mise de travers avec les portières grand ouvertes évidemment éclairée par la lumière provenante de la porte d'entrée ouverte. Je me demandais chose il fût en train de succéder, pendant que je rangeai les idées, avec mille et mille conclusions dans la tête, un coup d'arme de feu retentit dans la maison. Les cris horribles de Maggie me blessaient les oreilles. La terreur me bloqua, polis perdus se sentaient un ver, nu comme un ver, sans défense quelque. Peu instants, pour rétablir le contact avec la réalité: il raisonne, il raisonne, il pense, mon Dieu, pense. Je laisse ici y les stylos!
Maggie criait, il hurlait mots qu'elles semblaient disjointes, entremêlées aux hoquets, mais il n'avait pas fait mots de ma présence.
Il pensait peut-être que je fusse mort!
De Nuccio je n'entendais rien, ni une plainte, ni mouvements de pas sur les planches du plancher. Il était sûrement mort. Le bruit de ferrailles jeté dans un sac je compris qu'ils étaient en train de voler la maison, mais de Nuccio non plus une plainte.
Le coup d'arme de feu devait l'avoir tué.
Je lorgnai en faisant montrai dans le couloir. Une silhouette noire avec un sac en épaule et un pistolet en main enfourchait les escaliers; dans une autre pièce Maggie et un autre individu discutaient en afrikaans et ils hurlaient de manière très excité sans que je pusse comprendre une virgule de la prise de bec. Je reculai, il ne m'avait pas aperçu. Pas lourds en bas pour les escaliers, puis au soudain un bruit sourd sourd et un autre coup d'arme de feu. Il crie cris et rappels en dialecte africain, en contemporaine avec les cris de Maggie.
Je montrai dans le couloir; loin les ombres de deux illustrations projetées par la lumière de la chambre dans le couloir me firent comprendre que je pouvais gagner les escaliers. En bas pour les escaliers, sur la galerie avec une marche cassée, un noir je reverse encore avec un sac et l'arme dans la main dans une mare de sang. Je le sautai, j'atteignis le pian terrestre, je cherchai quelque chose à mettre en dos. Rien, entre temps Maggie et l'autre homme étaient descendus, je me cachai derrière une tenture lourde, devant moi au mur, un gros bouclier et une lance matabele suspendus en belle exposition. Deux mètres je jugeai jusqu'à le le mur, deux mètres et je pouvais saisir une arme, une arme jamais utilisée et sans aucune expérience de lutte ou je contrarie corps au corps. Je n'avais pas de choix, je fis un saut et en allongeant les mains prises l'arme en revenant derrière la tente. Le type avec la gauche Maggie tenait avec un bras derrière tordu le dos, il la traînait en visitant le rez-de-chaussée il avait dans la main droite cependant un pistolet, un vieux Mauser encombrant mais efficace. Maggie s'attarda une fraction de seconde dans la chambre, protégée par le mur, le type avait le pistolet baissé sur la hanche. J'étais sûr, je partis avec la lance en il reste, je choisis de ne pas lancer l'arme, je n'avais pas quelque certitude du résultat, la lame de la lance excessive avec toute ma force pénétra entre l'omoplate et la colonne vertébrale, il écarta une côte et il se fourra dans la viande pour entière, le type on paralysa en vibrant et en vomissant sang. Il tomba en genou et puis en bas bouchées sur le plancher.
J'avais tué un homme! J'étais un assassin! Maggie libéré le de la prise, il vomissait le whisky et les contenu de l'estomac à son tour. Avec un chiffon j'enveloppai une machette prise par le mur, et avec celui-là je tronquai le bois de la lance qui portait mes empreintes digitales net. Je rompis la lame de la machette dans un encastrement. Je saisis Maggie et le reste des armes avec mes empreintes, le sac sur la galerie et je la traînai vers la jeep. Je laissai la maison avec trois cadavres, après avoir donné feu à une tente. Le feu se répandit rapidement, de la jeep en éloignement, j'apercevais la vieille maison de paysans qui la dévorait maintenant entièrement. Je poussai la jeep avec du Maggie de hanche nue comme nu j'étais je, à toute vitesse en m'intimant de par la suite réfléchir; nous parcourions la savane en fendant avec les phares l'obscurité je pile, Maggie donna signes de recouvrement, il commença à échanger quelque phrase, puis il se mit à dormir en baissant le dossier. La luminosité de l'aurore, en éloignement il montrait l'étendue de la savane et plus tard j'aperçus sur la gauche une tache nette se dresser sur l'étendue herbeuse plate. Il devait être un bois, je dirigeai l'auto, dans cette direction, en confiant dans la couverture des arbres qui m'auraient caché d'examens aériens probables. Plus tard quelque heure nous nous enfoncions dans le coeur du maquis au point de presque aux bords d'un petit fleuve tranquille. J'arrêtai le moteur de l'auto, bien fermé les portières avec le bloc des sûres m'accordées peu heures de sommeil. Le mouvement de Maggie me réveilla. Il manquait à dix heures peu, les animaux sauvages s'étaient abreuvés tous: proies et prédateurs. Nous attendîmes encore un peu de temps avant de nous hasarder à sortir de l'auto dehors. Maggie observait du marchepied de la jeep autour, j'avec un des deux bidons de la voiture, (l'autre était demi crue d'essence, descendu sur le bord du fleuve. L'eau courante s'était éclaircie, mais rien nous assurait qu'il fût potable. Il servait y pour nous laver, puis nous aurions pensé pour boire. Derrière, en le vain de l'auto, il y avait une paire de bouteilles d'eau minérale et un paquet de biscuits secs. Nous récupérâmes un reste usé ample de vieux draps, et coupé en deux nous en dérivâmes autour d'une couverture courte le les hanches pour les deux. Nous nous lavâmes, nous lavâmes le sang éclaboussé ailleurs j'adosse à moi et au Maggie, pendant que je frappais le type dans le couloir; je remplis le bidon de nouveau pour environ vingt litres, je la fixai sur le petit toit de la jeep, sur le porte-bagages en métal. La longue exposition au soleil africain l'aurait portée à la température de certain supérieur aux cinquante degrés centigrades, ceci il pouvait rendre potablel'eau, mais sur les organolettiche caractéristiques il y n'avait pas garantie quelque. Plus tard nous aurions usé quelques bisciut de l'escorte, puis nous fîmes le point de la situation.
- Chose maintenant nous ferons? -
Maggie demanda, en les essuyant la bouche comme s'il eût peut-être usé quel plat.
- Nous ne pouvons pas revenir en arrière, chérie, ceci est un pays de noirs, et ici "les extra nous sommes nous blancs. Dans ton domicile ancien il y a en outre deux cadavres noirs et un nu blanc, qu'il manquera à l'appel de mes collègues de travail! Il ne sera pas facile de faire avaler la vérité aux autorités qui seront plus enclins à penser qu'une nuit de sexe avec les deux gros negre soit finie au putain et qu'un coup de jalousie soudaine ait poussé l'assassin à agir, et cet je pourrais être je même à être inculpé!
- Mais tu as mis le feu à la maison, je ne crois rien je sois resté dans cet enfer que tu as engendré, les os seront demain matin visibles non plus.
J'acquiesçai d'un signe de la tête et j'ajoutai qu'ils auraient peut-être considéré morts nous tous dans ce bûcher terrible restaient le mystère de la jeep cependant, mais de celles-là en volent à foison en Afrique.
Le soleil africain brûlait le paysage tout d'autour et, le bidon exposé sur le petit toit de la jeep bouillonnait presque au toucher avec la main, j'avais voulu m'assurer. Caché à l'ombre des mopani, nous sommeillions au tour, demi nus, dans l'auto pour ne pas faire nous surprendre des foires.
Nous aurions la nuit voyagé, au frais, en côtoyant le fleuve pour ne pas rester sans eau.
Ce soir qui en défile des bouts de fer trouvé par le parapluie dans le coffre de la jeep, je mis une espèce d'arc rudimentaire ensemble, en utilisant une branche flexible et droit plié à l'arc en utilisant peut-être un bout de fil d'accélérateur comme fini dans la malle. Je l'essayai et le résultat ne fut pas enthousiasmant, je devais nous travailler sur et trouver une branche plus élastique. C'était une ancre cependant psychologique de salut: nous possédions une arme! Le sommeil réparateur et la fatigue eurent l'avantage. CONTINUA

Una zia molto, molto particolare. 1

Conobbi la mia ex moglie che avevo venti anni appena e lei ventinove; là, in quel paesino del meridione, che a malapena conoscevo, dopo qualche mese lei , Agnes ( nome convenzionale) cominciò a portarmi in giro a conoscere le sue zie e zii, circa sette in tutto! Quella che però colpì la mia curiosità fu zì Erminia, la più giovane sorella della mia suocera. Subito risultò simpatica, aperta ed accomodante. Dai modi spicci e dalla parlata a dir poco colorita, inframmezzava le frasi con epiteti tipo “ quella zoccola” oppure “rotta in culo, ed ancora bocchinaria, si, non è un errore, proprio bocchinaria. Certo non dai primi momenti, ma man mano che la conoscenza si approfondiva, e le frequentazioni si susseguivano, ella si lanciava a ruota libera giù per turpiloqui che avrebbero fatto impallidire uno scaricatore di porto ( senza offese per la categoria, ma è solo un modo di dire colorito); per parte mia, abituato ai rigori dell’istituto religioso che da piccolo mi aveva accolto e formato, quel parlare mi seduceva introducendomi in aree della perversione del tutto sconosciute. A ciò si aggiunga che spesso le posture della cara zì Erminia, erano tali da lasciare intravedere ampie parti delle cosce bianchissime e senza alcun difetto, quando per esempio si sedeva sul basso scannellino in giardino, oppure se stava china, da dietro si vedevano le gambe fino alle mutandone candide e pulite, nonostante i suoi cinquantasette anni suonati, e la gamba sinistra che la costringeva a claudicare, in modo leggero, ma caratteristico; badava alla casa ed accudiva ad un orto di tutto rispetto. Disgraziatamente per lei, dopo qualche anno che ci conoscevamo, le morì zì Pietro, uomo mite e padre di famiglia irreprensibile, lavoratore e accorto. Il terremoto e le lungaggini burocratiche, non le avevano consentito di riparare la casa, che aveva subito qualche danno, ma non strutturale, per cui si decise a parlarne con me, che lavoravo da anni nell’edilizia. Ci accordammo affinché per economizzare il tutto avrei eseguito i lavori di sabato ( giorno che non lavoravo in cantiere) così la frequentazione divenne assidua e le confidenze più strette e senza tabù ( termine di cui zì Erminia ha sempre ignorata l’esistenza) . Un sabato di fine giugno, verso sera, terminato il lavoro di quel giorno mi invitò a farmi la doccia, là, nel giardino, in un angolo riparato, appositamente attrezzato. Ebbi la sensazione ( o la speranza ) di essere osservato, il solo pensiero mi pervase di eccitazione. E, nudo sotto il getto d’acqua mi agitavo, con il pene ritto e scappellato che batteva a destra ed a sinistra sui fianchi in quella danza dimostrativa. Non sapevo se avevo avuto spettatori o era stata solo una mia fantasia, mi asciugai, e rivestito, incontrai zì Erminia per salutarla, ella stava seduta sulla panca davanti alla cucina con la gamba sinistra distesa e le mani che la massaggiavano scorrendo su e giù per la coscia, con la gonna tirata meravigliosamente su, contemporaneamente turpiloquiava a distesa e senza freni. N’ebbi sincera compassione e mi offrii di aiutarla, le chiesi se avesse una crema antinfiammatoria, e avutane conferma positiva la costrinsi ad alzarsi e l’accompagnai nella attigua camera a pianterreno, dove c’era un divano letto. Ella si distese carponi sul divano e sollevata la gonna cominciai a massaggiare la gamba florida e dalla pelle splendidamente liscia, la mie mani si muovevano in sincronia su e giù per la coscia di zì Erminia. Cominciai ad eccitarmi , e ciò mi induceva a salire sempre più in alto, fino a toccare ed urtare le chiappe e la figa della vecchia zia; stavo già allupato da paura con il cazzo duro che pulsava di vita propria, nel movimento, inavvertitamente, il mio cazzo duro venne in contatto con la sua gamba, poco sotto la curva del ginocchio mi discostai d’istinto, ma alla corsa successiva della mano destra quando questa urtò la fica , il suo bacino si inarcò all’indietro in un gesto di aperto invito; la vista mi si offuscò, il fuoco che partiva dai coglioni e saliva via via su per la schiena mi avvampò la testa, mi strofinai con vigore poggiato sulla coscia sotto di me, e la mia mano ispezionava la sua fica dopo aver discosto le mutande, ella ansimava e si offriva oscenamente, la mia mano che sgrillettava la sua fessura era impiastricciata insieme ai suoi peli di colore misto nero tendente al grigio e bianchi, intriso di umore appiccicoso e semitrasparente, dal sentore deciso, tipico del sesso delle femmine allupate. La tirai giù dal divano ponendola ginocchioni per terra, le aprii la fica ed introdussi il cazzo tosto e scappellato, dalla cui sommità gocciolava alcune lacrime lubrificanti. Il glande trasbordava dall’asta con uno spessore notevole, quasi una cappella di fungo, la penetrai con lentezza incontrando una resistenza inaspettata, ma graditissima, lei sbuffava ,soffiava e mi apostrofava con “ porco figlio di zoccola, fai piano, rotto in culo ecc...” ma alla fine glielo ficcai per bene tutto dentro, tenendola ferma per i fianchi la bloccai fermo per lunghi minuto, ella contorceva il culone grosso e spropositato che la natura le aveva dato in dono, avvertii le contrazioni ritmiche della vulva, poi interruppi il gioco e senza preavviso e di scatto lo tirai fuori, la fica gorgogliò e da lì scolava liquame, lo stesso di cui era intriso il mio cazzo, la zia urlo ed imprecò , le poggiai la cappella unta di sborra femminile davanti al buco del culo, esercitando solo una leggera pressione, lei sobbalzo e mi minacciò, sfidandomi a non farlo, riempiendomi di “ stronzo figlio di una cooperativa di froci” io le manganellavo il sedere e le chiappone enormi col cazzo a mò di clava, e quando decisi che si era asciugato per bene, puntai deciso alla fica e brutalmente la fiondai di botto, allo stesso tempo la figa schizzo sulle mie palle e fece anche un suono simile alle scorregge! La zia urlò e mugolò come una bestia battendo la testa di qua e di là e diceva “ stronzo ricchione sei un animale, porco schifoso!” adesso la chiavavo con ritmo regolare cercando il momento culminante, per ciò aveva sollevato una gamba puntellando sul bordo del divano, così riuscivo a spingere più a fondo dentro di lei, il glande era infiammato ed in preda all’orgasmo imminente, mi spinsi forte dentro afferrandola forte per i suoi fianchi, mentre la sborra correva veloce nel canale adducente non udii ciò che diceva la vecchia, ero perso, e sicuramente urlavo pure io ,come di solito faccio mentre fotto e sborro dentro una fessa. Restammo ancora così per diverso tempo, prima di estrarre dal suo corpo la verga semimoscia, il fiotto si sborra defluì dalla fica, sporcando il pavimento e l’interno delle sue cosce, si alzò e preso che ebbe uno straccio pulito, mi pulì il cazzo, ma continuava a palparlo e stringerlo, dopo si pulì la fica imprecando. Avevo avuto un rapporto da lungo tempo fantasticato e desiderato, adesso ero lì che mi vestivo, dopo aver appeso al carniere personale anche quella femmina, ma non avevo finito con lei . Tornando a casa in macchina, mi passavano per la mente le fasi che erano culminate con la chiavata di zì Erminia, chi l’avrebbe mai detto? Lo ammetto era stata una valanga di perversione pura , poterle sborrare tutto nella fica.

Une tante très, beaucoup de particulier. 1

Je connus ma femme ancienne que j'avais vingt ans dès qu'et elle vingt-neuf; là, en ce patelin du midi qui à peine connaissais, après quelque mois elle, Agnès, (nom conventionnel) commença à m'apporter en tour à connaître ses tantes et oncles, environ sept en tout! Celle-là qui cependant il frappa ma curiosité il fut zì Erminia, soeur la plus jeune de ma belle-mère. Tout de suite elle résulta sympathique, ouverte et accommodante. Tu donnes manières tu expédies et du parler au dir peu coloré, il entrecoupait les phrases avec des épithètes type "ce zoccola" ou "route en cul, et il ancre bocchinaria, ce n'est pas une faute propre bocchinaria. Certainement pas depuis les premiers moments, mais au fur et à mesure que la connaissance s'approfondissait, et les frequentazioni se succédaient, elle se lançait à la roue libre en bas pour langages obscènes qu'ils feraient pâlir un débardeur de je porte, sans offenses pour la catégorie, mais c'est seulement une manière de dire colorée,; pour mon partie, habitué aux rigueurs de l'institut religieux qui m'avait accueilli de petit et formé, ce parler me séduisait en m'introduisant en zones de la perversion des inconnues tout. À ceci j'ajoute qui souvent les postures du cher zì Erminia étaient tels à laisser apercevoir parties amples des cuisses blanches et sans quelques-uns défaut, quand il s'asseyait sur le bas banc par exemple en jardin, ou si pente restait, de derrière ils se voyaient les jambes jusqu'à en lui changeant en blanc et coups de torchon, malgré les siens cinquante-sept ans sonnés et la jambe gauche qui la contraignait à claudiquer, de manière légère, mais caractéristique; il faisait attention à la maison et il assistait à un potager de respect tout. Malheureusement pour elle, après quelque an que nous nous connaissions, zì lui mourut Pietro, homme doux et père de famille irrépréhensible, travailleur et avisé. Le tremblement de terre et les lenteurs bureaucratiques ne lui avaient pas permis de réparer la maison qui avait subi quelques je donne, mais pas structural pour lequel se décidée à en parler avec moi, que je travaillais dans le bâtiment depuis des années. Nous nous accordâmes pour que pour économiser le tout j'aurais exécuté les travaux le samedi, jour que je ne travaillais pas en chantier, le frequentazione devint ainsi assidu et les confidences les plus étroites et sans tabou, terme dont zì Erminia a toujours ignoré l'existence. Un samedi de juin fin, vers le soir, terminé le travail de ce jour il m'invita à me prendre une douche, là, dans le jardin, dans un angle abrité, exprès équipé. J'eus la sensation ou l'espoir, d'être observé, la pensée seule me pénétra d'excitation. Et, dessous nu le jet d'eau je m'agitais, avec le pénis droit et scappellato qu'il battait à droite et à gauche sur les hanches dans cette danse démonstrative. Je ne savais pas si j'avais eu spectateurs ou mon imagination avait été seule, je m'essuyai, et rhabillé, je rencontrai zì Erminia pour la saluer, elle restait séance sur le banc devant la cuisine avec la jambe étendue gauche et les mains qui la massaient en coulant sur et en bas pour la cuisse, avec la jupe tirée merveilleusement là-haut, en même temps turpiloquiava à toute volée et sans freins. J’ai assure compassion et je m'offris de l'aider, je lui demandai s'il avait une crème anti-inflammatoire, et eue il en positif confirme je la contraignis à se lever et je l'accompagnai dans la chambre contiguë au rez-de-chaussée, où il y avait un divan lu. Elle à quatre pattes s'étendue sur le divan et soulevée la jupe je commençai à masser la jambe florissante et de la splendidement peau lisse, mes mains ils se remuaient en synchronie sur et en bas pour la cuisse de zì Erminia. Je commençai à m'exciter, et ceci m'induisait à monter de plus en plus en haut, jusqu'à toucher et heurter le cul et la chatte de la vieille tante; je restais déjà exité de peur avec la bite dur qui battait de propre vie, dans le mouvement, mon bite dur vint en contact par mégarde, avec sa jambe, peu de dessous la courbe du genou je discostai par instinct, mais à la course suivante de la main droite quand celle-ci heurta la chatte, son bassin s'arc-bouta dans un geste d'invitation ouverte à reculons; la vue se brouilla, le feu qui partait des balles et il montait dans le dos tour à tour me flamba la tête, je me frottai avec vigueur appuyée sur la cuisse sous de moi, et ma main inspectait son chatte après avoir écarté les slip, elle haletait et il s'offrait d'une façon obscène, ma main que il gratait sa fente était poissée ses poils de couleur avec tendente noir mixte au gris et blancs, imprégné d'humeur colant et demi-transparent, du vent décidé, typique du sexe des filles exitè. Je la baissai du divan en la mettant par terre , je lui ouvris la chatte et j'introduisis la bite je grille et ouvert de la lequel sommité dégouttait quelques larmes lubrifiantes. Le gland transbordait de la hampe avec une épaisseur considérable, presque une chapelle de champignon la pénétra avec lenteur en rencontrant une résistance inattendue, mais agréable, elle soupirait, il soufflait et il m'apostrophait avec "cochon je génère de zoccola, tu fais plat, cassé en cul etc..." mais à la fin je le lui fourrai dedans pour bien tout, en la tenant arrêté pour les hanches je la bloquai j'arrête pour longue minute, elle tordait le cul gros et énorme que la nature lui avait donné en cadeau, j'avertis les contractions rythmiques de la vulve, puis j'interrompis le jeu et sans préavis et de déclenchement je le sortis, le fica gargouilla et d'il égouttait là purin, le même dont mon cazzo était imprégné, la tante je hurle et il souhaita, je lui appuyai la chapelle grasse de liquide féminin devant le trou du cul, en exerçant seul une pression légère, elle je tressaute et il me menaça, en me défiant à ne le pas faire, il m'appelait "stronzo je génère d'une coopérative de gay" je la matraquais le derrière et le cul énormes avec la bite au mò de massue, et quand décidés qu'il s'était essuyé pour je visai bien décidé, au chatte et brutalement je le coulai de coup, au même temps la chatte j'éclabousse sur mes balles et il fit un son semblable aux scorregge aussi! La tante hurla et il marmonna comme une bête en battant de-ci de-là la tête et il disait "stronzo gay, tu es un animal, cochon dégoûtant!" maintenant le baise avec rythme régulier qui en cherche le moment culminant, par conséquent il avait soulevé une jambe en étayant sur le bord du divan, je réussissais ainsi à pousser plus au fond dans elle, le gland il était enflammé et en proie à l'orgasme imminent, je me poussai fort dans en la saisissant fort pour ses hanches, pendant que le sborra courait rapide dans le canal adducente je n'entendis pas ce qu'il disait la vieille, j'étais perdu, et sûrement je hurlais aussi, comme je fais d'habitude pendant que baise et sperm dans une fendue. Nous restâmes ainsi encore pour différent temps, avant d'extraire de son corps la verge en retraite, le flot il sperm s'écoula du chatte, en salissant le plancher et l'intérieur de ses cuisses, il se leva et pris qu'il eut un chiffon propre, il me nettoya la bite, mais il continuait à le palper et le serrer, il se nettoya le fica après en souhaitant. J'avais eu un rapport de longueur temps rêvé et désiré, maintenant j'étais là que je m'habillais, après avoir aussi accroché au carniere personnel cette fille, mais je n'avais pas fini avec elle. En revenant à la maison en voiture, est-ce qu'ils me passaient pour l'esprit les phases qui avaient culminé avec le baisement de zì Erminia, qui lui aurait jamais dit? Je l'admets elle avait été une avalanche de perversion pure pouvoir elle de remplir la chatte de sperme tout dans elle.
CONTINUA

Gli occhi dolci di Adele, maestrina pensionata.

Era di luglio, in quella cittadina ridente che affaccia sul tirreno del sud. Io e due miei aiutanti, spostati dal cantiere di lavoro, in quell’intervento a casa della zia di un capo della ditta, per impiantare la caldaia a gas e relative tubature per il riscaldamento. Giunti al penultimo piano, ci accolse una signora anziana, di aspetto gradevole: la padrona di casa gentile e luminosa, in quel caldo mattino di luglio. Indossava una vestaglia lunga fino alla caviglie, perché alle ore sette del mattino, nessuna riceve abbigliata diversamente. Aveva i capelli a mezza spalla, quasi canuti con quelle striature argento brillante, raccolti in una crocchia, mezza sciancata dietro la nuca, che le conferiva un aria dimessa e di calore familiare. Invademmo l’ampio appartamento con le più varie attrezzature da lavoro. Un addetto trasportava col furgoncino scoperto le materie prime utili per eseguire le opere necessarie; mentre l’altro, un giovanotto poco più che sedicenne, le portava al piano, fin dentro l’appartamento. Il lavoro procedeva spedito, e con la sicurezza che dà l’esperienza maturata nel settore. I giorni si susseguirono e le attenzioni che l’anziana donna aveva per noi, per me non erano passate inosservate. Le frequenti interruzioni per il caffè preso magari da soli, sul divano, e le costanti cambiate di abito che ella operava, durante la giornata, previo passaggio sotto la doccia. Era quasi ossessionata per l’igiene e la pulizia. Era stata una maestra di scuola elementare sino alla raggiunta età pensionistica; il consorte l’aveva lasciata prematuramente anni addietro, e l’appartamento era un continuo inno alla celebrazione del ricordo dei bei tempi felici., trascorsi insieme. Nel salone, tra i vari dipinti ad olio di pregevole fattura, ma di sconosciuti autori, troneggiava un grande disegno a matita , di fattura eccelsa, un nudo che ritraeva una donna dell’età di non più di quaranta anni, sensualissimo, in posa non ginecologica, ma davvero attraente agli occhi di un uomo. Mi pescò che lo ammiravo fisso, in estasi adorativa; il suo tocco leggero, sopra la mia spalla mi distrasse e probabilmente mi salvò dall’essere colpito dalla sindrome di Stendhall. Ero giovane allora, continuò con una vena di malinconia nella voce tenera, ma ferma, la stessa di chi per anni ha formato giovani alla vita. Si, ero giovane allora e questo è l’omaggio di un artista a conclusione di un rapporto intensissimo e bruciante di passione, disse stringendosi le braccia conserte in un abbraccio ideale con lo sconosciuto artista. Mi girai e la fissai negli occhi, di un colore indefinibile, tra il verde ametista e l’azzurro chiarissimo, con sfumature fulve. Cos’ero davanti a lei, tutto ricoperto di polvere e schizzi di calcina? Un rude; braccia buone per la fatica fisica, vuoto nella testa. Lessi nei suoi bellissimi occhi una lama di luce sottile, proveniente dai meandri più recessi dell’anima. Ad un palmo dal naso, percepivo l’odore della sua pelle, nonostante fossi coperto del sudore della fatica. Era lì, allungando le mani potevo prenderla, non avrebbe opposto resistenza. L’avrei baciata teneramente, se non fosse intervenuto il ragazzo a rassettare, che il giorno di lavoro era terminato. Un suo sospiro mesto, collimò con la mia stessa delusione per quell’istante infranto. Ci salutammo prolungando la stretta di mano in modo inverosimile . all’indomani non avevo che occhi per lei. La seguii ogni qualvolta si cambiava d’abito. Abiti leggeri, tunicati, sovente con una lunga fila di bottoni a chiusura sul davanti. Chiusura che tante volte in occasione dello sporgersi in avanti, la stoffa si apriva tra un bottone e l’altro. Io mi godevo la visione del suo corpo quando potevo. In cucina si abbassò repentinamente, nel raccogliere delle mollette per capelli: ebbi modo di guardare bene sotto la veste di lino leggero, le mutandine nere di pizzo traforato e civettuole, lo spacco del culo veniva impreziosito da quell’indumento intimo. Le cosce erano all’attaccatura del culo appena gonfie per la tensione dei muscoli. L’erezione violentissima e prepotente mi provocava un dolore lancinante lungo il pene, all’attaccatura delle palle, anch’esse irrigidite nel sacco scrotale. Persi lucidità imbufalito dalla voglia di fottere, mi misi in mostra, col paccone gonfio: aspettai che si rialzasse, e girasse su se stessa per coglierne la reazione. Impiegò qualche istante prima di focalizzare la patta deformata dei miei pantaloni, dove la cappella del cazzo premeva svettando a mò di cima di un monte. Gli occhi le si fermarono, la bocca le si dischiuse, filtrando l’aria tra i denti. Allungai le mani sulle sue tette, le accarezzai, erano due sacchetti dove in fondo riposavano due palle deformi sormontate dai capezzoli di notevole dimensione e dal turgore inaspettato. La mia mano destra mollò la presa e scivolando lungo il suo fianco sotto l’ascella, raggiunse il culo, denso e sodo, l’attirai contro il mio cazzo, che si sistemò ad hoc nel dolce vuoto del suo inguine. La mia bocca si spalancò poggiando sulla sua, rorida di umori, saettavo la lingua fino ad intrecciarsi con la sua. Temevo fin’allora di essere respinto da quella patita della pulizia, io che a metà giornata avevo addosso almeno un dito di polvere in frammista al sudore. Venne docile a soffregarsi contro il mio cazzo duro di pietra. Ero follemente infervorato ed affamato di eros perverso. Eros che mia moglie, pure brava a fare sesso, non poteva comunque darmi. Il ragazzo stava giù in portineria a bighellonare, e comunque avrebbe dovuto bussare prima di entrare. Farlo adesso era sciupare la prima volta con una nuova femmina. Ci arrancammo famelici e sussurrandoci nelle orecchie, stavamo decidendo se andare nella sua camera oppure nell’ampio salone sul tappeto, davanti al pianoforte a coda. Il trillo del campanello all’ingresso risolse per noi, e ci impose di ricomporci in modo veloce. Una delle attenzioni che posi nel farlo fu quella di spolverare l’abito di Adele, che recava seco vistose tracce di chiara polvere. La porta si aprì lasciando entrare una giovane donna, di statura poco più bassa di Adele, ma che le somigliava tantissimo. Era la figlia, alla quale Adele badava la bambina, ma avendo i lavori in casa, per questo periodo non lo poteva fare. Donna scialba, giudicai, altezzosa ed alquanto scostante. Truccatissima, pur somigliandole, non ne aveva avuto le leggerezza dei tratti somatici della madre. Si intrattenne poco più di dieci minuti, o giù di li, si avviò all’uscio senza né salutare, né rivolgendo uno straccio di parola. A mezzogiorno ci accingemmo come consuetudine, a consumare la colazione; un panino con le più svariate preparazioni di salumeria. Mi posi fuori, sul terrazzino con le spalle poggiate alla ringhiera in ferro, ed il viso rivolto all’interno della cucina , dove Adele seduta al tavolo di fronte a me, con fare sbarazzino, accavallava le gambe in modo vistoso e plateale. Il tutto a mio esclusivo uso e consumo. Il ragazzo si era accomodato intorno alla tavola, ma con la visuale coperta dalla tavola stessa. Divorai il panino e la pesca dalla pelle leggermente impeluriata , il restante tempo dell’intervallo lo trascorremmo sorseggiando caffè e chiacchierando del più e del meno. Nella mia testa mordevo il freno, non vedevo l’ora che finisse il lavoro. Alle sedici e trenta il ragazzo sistemò le attrezzature, rassettò per quanto possibile , quindi lui e l’altro si avviarono al deposito per lasciarvi il camioncino. Io mi attardai, e assicuratomi che fossero andati via, Adele mi suggerì di fare una doccia. Entrai nella cabina nudo protetto dalle ante in plexiglass semitrasparente, per accorgermi solo al momento che mancava il doccia-shampoo, glie ne chiesi un po’ e lei ne approfittò per entrare nella cabina: mi offrii a lei tutto nudo, grondante di acqua, giù per le natiche ed il pene appena ricurvo in evidente stato di pre- erezione , mi porse il flacone con un gesto palesemente goffo, tanto da farlo cadere, costringendomi a girarmi e chinarmi per raccoglierlo. Sentii le sue mani sulle chiappe , anche più sotto, fino ai coglioni, un dito esplorò con delicatezza il buco del culo, solo un passaggio. Il mio cazzo ormai svettava tronfio e appena ricurvo all’insù col frenulo che tendeva in modo spasmodico l’astuccio che riveste il cazzo a riposo. Mi girai mostrandole il cazzo duro e teso. Adele con un sol gesto sciolse le bretelline e l’abito di cotone rotolò su se stesso ai suoi piedi, lasciandola nuda. La tirai dentro e la spinsi faccia a muro, col doccino al minimo: puntai deciso al buco del suo culo. Il cazzo bagnato premeva aprendosi un varco nel muscolo anale. Adele grugniva ed era percorsa tutta da fremiti e sospirava assorbendo i colpi di ariete che le infliggevo, sospinto dalla passione perversa. Entrai con notevole difficoltà , fino in fondo dentro il suo culo. Ella attraverso la pressione che esercitava con le dita della mano sul mio braccio, mi trasferì tutto il dolore e la goduria perversa che sentiva. Il mio cazzo pulsava affondato nello stretto ano, era quasi indolenzito, ebbi chiara la certezza che perdevo sensibilità già alla punta del cazzo. Poi chiaramente avvertii la pressione che l’anello dello sfintere stava esercitando alla base del cazzo, comprimendo i vasi sanguigni esterni del pene, che pompando intrappolava sangue nel corpo spugnoso, facendolo gonfiare in modo spropositato. Raggiungere l’orgasmo in modo più veloce possibile era il segreto che poteva evitare l’assurda tragedia di esporci al pubblico ludibrio. Aprii mentalmente l’enorme album fotografico stampato nella mia memoria, alla ricerca di immagini femminili che potessero favorire l’eiaculazione senza eccessivo movimento del pene che ormai non poteva muoversi più. Adele tremava scossa dai brividi di terrore, dalla paura della pubblica vergogna; scuoteva la testa di lato strusciandola lungo le piastrelle bagnate. La strinsi con dolcezza, cercando di infonderle un barlume di sicurezza. Era chiaro che piangeva. La sequenza di immagini accarezzata dalla mia psiche, diede il risultato sperato, il seme defluì a fiotti dolorosi per me, potendo cominciare la agognata fase di “refrattarietà”; cercai di abbassare il ritmo del respiro, normalizzandolo, era fondamentale non sfiorare col pensiero nessuna cosa o argomento che riguardasse il sesso. Le parlai con dolcezza calmandola, la invitai a respirare piano e rilassarsi. Restammo così legati per alcune ore .La stanchezza si faceva sentire fin quando il pene rilassato defluì da solo liberandoci dal legame costrittorio. Il cazzo floscio macchiato di rosso che divenne rosato quando fu lavata via dall’acqua corrente. Ci insaponammo e lavammo con cura; ispezionai il suo culo e con un sospiro di sollievo non rilevai nessuna lacerazione , probabilmente teneva già qualche ragade anale, che s’era messo a sanguinare. Ci adagiammo sul divano tenendoci abbracciati, ancora nudi; fuori il buio rischiarato dalle luci della città, ci disse che si era fatto molto tardi. Con suo sommo rammarico mi vestii per tornare a casa . nel salutarci mi disse che avrebbe voluto parlarmi di una cosa molto delicata e che richiedeva tempo, ma soprattutto tatto. Ci salutammo con la promessa di rivederci quanto prima, al di fuori dell’attività lavorativa.

Continua……. ilgobbetto.

Les yeux doux d'Adele, retraitée enseignant.

Il était de juillet en cette petite ville riante qui montre sur le tyrrhénien du sud. Moi et deux mes aides, déplacées par le chantier de travail, en cette intervention à la maison de la tante d'un chef de la maison, pour installer la chaudière à gaz et tuyauteries relatives pour le chauffage. Joint à l'étage avant-dernier, une dame âgée nous accueillit d'aspect agréable,: le propriétaire gentil et lumineux, dans ce matin chaud de juillet. Il mettait une robe de chambre longue jusqu'à les les chevilles, parce que par heures sept du matin, personne ne reçoit différemment habillée. Il avait les cheveux à la demi épaule, presque chenus avec ces rayures j'argente vif, recueillis dans un chignon, demi derrière éclopé la nuque qui lui conférait un air modeste et de chaleur familière. Nous envahîmes l'appartement ample avec équipements les plus différents de travail. Un employé transportait avec la fourgonnette découverte les matières premiers profits pour exécuter les oeuvres nécessaires; pendant que l'autre, un jeune homme peu plus que seize ans d'âge, il les portait à l'étage, jusque dans l'appartement. Le travail procédait rapide, et avec la sûreté qui donne l'expérience mûrie dans le secteur. Les jours se succédèrent et les attentions qui avait pour nous, pour moi elles n'étaient pas passées inaperçu. Les interruptions fréquentes pour le café tout seul pris peut-être, sur le divan et les constantes changées d'habit qu'elle opérait, pendant la journée, passage préalable sous la douche. Elle était presque obsédée pour l'hygiène et la propreté. Elle avait même été un maître d'école élémentaire à l'âge atteint de la retraite; l'époux l'avait en arrière laissée prématurément ans, et l'appartement était un hymne continu à la célébration du souvenir des beaux temps heureux., ensemble passé. Dans le salon, entre les peintures différentes à l'huile de facture estimable, mais d'auteurs inconnus, un grand dessin trônait au crayon, de facture sublime, un nu qu'il retirait une femme de l'âge de pas plus de quarante ans, sensuel, en pose pas gynécologique, mais vraiment attrayant aux yeux d'un homme. Il me pêcha que j'admirais fixe le, en extase, en adoration; sa touche légère, sur mon épaule il m'et il me sauva probablement de l'être frappé par le syndrome de Stendhall. Alors j'étais jeune, il continua avec une veine de mélancolie dans la voix tendre, mais arrêté, la même de qui pour ans il a formé jeune à la vie. Alors Vous étaient jeunes et celui-ci est l'hommage d'un artiste à la conclusion d'un rapport intense et brûlant de passion, il dit en les serrant les bras conserte dans une embrassade idéale avec l'inconnu artiste. Je me retournai et je la fixai dans les yeux, d'une couleur indéfinissable, entre le vert améthyste et le bleu clair, avec des nuances fauves. Qu'est-ce que j'étais devant elle, tout recouvert de poussière et éclaboussures d'il calcine? Un rude; bons bras pour la fatigue physique, vide dans la tête. Je lus dans ses très beaux yeux une lame de lumière mince, provenant des méandres plus de profondeurs que de l'âme. À une empan du nez, je percevais l'odeur de sa peau, malgré je fusse couvert de la sueur de la fatigue. Il était là, en allongeant les mains je pouvais la prendre, il n'aurait pas opposé de résistance. Je l'aurais tendrement embrassée, si le garçon n'était pas intervenu à ranger, que le jour de travail était terminé. Son soupir triste visa avec ma même déception pour cet instant brisé. Nous nous saluâmes en prolongeant la poignée de main de manière invraisemblable. au lendemain je n'avais pas que yeux pour elle. Je la suivis chaque il se changeait d'habit chaque fois. Habits légers, tuniqeè, souvent avec une longue file de boutons à fermeture sur le devant. Fermeture que beaucoup de fois à l'occasion du se pencher en l'étoffe s'ouvrait entre un bouton et l'autre en avant. Je me réjouissais la vision de son corps quand je pouvais. En cuisine il se baissa soudain, en le recueillir des épingles pour cheveux: j'eus bien manière de regarder sous le vêtement de lin léger, les culottes noires de dentelle ajourée et coquette, la fente du cul était enrichie par ce vêtement intime. Les cuisses étaient au point d'attache du cul dès que gonflées pour la tension des muscles. L'érection violente et tyrannique me provoquait une douleur longueur lancinante le pénis, au point d'attache des balles, aussi elles vous raidissez dans le sac du scrotum. Polis perdus imbufalito de l'envie de baiser se mit en vue, avec le pac gonflé: j'attendis qu'il se relevât, et il tournât sur si même pour en cueillir la réaction. Il employa quelque instant avant de focaliser la patte déformée de mes pantalons, où la chapelle de la pressait en écimant comme de cime d'un mont. Les yeux se les arrêtèrent, la bouche se les ouvrit en filtrant l'air entre les dents. J'allongeai les mains sur ses tétons, je leur caressai, ils étaient deux sachet où ils reposaient deux balles difformes surmontées des mamelons de dimension considérable et de la turgescence inattendue au bout. Ma main droite lâcha la prise et en glissant long sa hanche sous l'aisselle atteignit le cul, dense et dur, je l'attirai contre mon bite, qu'il s'installa à l'hoc dans le vide doux de son aine. Ma bouche s'ouvrit en appuyant sur la sienne, pleine d'humeurs, je dardais la langue au point d'à s'entrelacer avec la sienne. Je craignais au point d'alors d'être repoussé soufferte par celle-là de la propreté, je qu'à la moitié journée j'avais j'adosse au moins un doigt de poussière en entremêlée à la sueur. Il vint docile à les frotter contre mon bite dur de pierre. J'étais passionné à la folie et affamé d'eros pervers. Éros que ma femme, aussi bonne à faire sexe, il ne pouvait pas me donner de toute façon. Le garçon restait en conciergerie en bas à flâner, et il aurait de toute façon dû frapper avant d'entrer. Maintenant le faire était gaspiller la première fois avec une nouvelle fille. Nous nous agrippâmes faméliques et en nous murmurant dans les oreilles, nous étions en train de décider si aller dans sa chambre ou dans le salon ample sur le tapis, devant le piano à la queue. La trille de la sonnette à l'entrée résoulut pour nous, et il nous imposa de nous recomposer de manière rapide. Une des attentions qui posai en le le faire fut celle d'épousseter l'habit d'Adele, qu'il apportait seco traces voyantes de poussière claire. La porte s'ouvrit en laissant entrer une femme jeune, de taille peu plus basse d'Adele, mais qu'il lui ressemblait beaucoup de. C'était la fille à qui gardait la fillette, mais en ayant les travaux en maison, pour cette période il ne pouvait pas le faire. Femme insignifiante jugea, hautaine et plutôt rebutant. Truquée, aussi en ressemblant elle, il en n'avait pas eu la légèreté des traits somatiques de la mère. Il s'attarda peu plus de dix minutes, ou en bas d'eux, il démarra à la porte sans ni saluer, ni en tournant un chiffon de mot. À midi nous nous apprêtâmes comme coutume à user le petit déjeuner,; un sandwich avec préparations les plus variées de charcuterie. Je me mis dehors, sur le balcon avec les épaules appuyées à la rampe en fer, et le visage tourné à l'intérieur de la cuisine, où Adele s'assise à la table devant moi, avec faire espiègle, il croisait les jambes de manière voyante et grossière. Le tout à mien usage exclusif et consommation. Le garçon avait autour de pris place le la table, mais avec la visuelle couverte par la table même. Je dévorai le sandwich et la pêche légèrement de la peau poilue, le reste temps de l'entracte nous le passâmes en sirotant café et en bavardant plus de l'et du moins. Dans ma tête je mordais le frein, je ne voyais pas l'heure qui finît le travail. À seize heures trente le garçon rangea les équipements, il rangea bien que possible, donc lui et l'autre démarrèrent au dépôt pour vous laisser la camionnette. Je m'attardai, et m'assuré qu'ils fussent partis, Adele me suggéra de prendre une douche. J'entrai dans la cabine nu protégé par les portes en plexiglass demi-transparent, pour s'apercevoir seul au moment qui manquait le douche-shampooing, j'en demandai un po' et elle il en profita pour entrer dans la cabine: je m'offris à elle nu tout, ruisselant d'eau, en bas pour les fesses et le pénis dès que recourbé en état évident de pre - érection me donna manifestement le flacon avec un geste maladroit, beaucoup d'à faire tomber il, en me contraignant à me tourner et me baisser pour le recueillir. J'entendis ses mains sur le cul, aussi plus bas, jusqu'à les les balles, un doigt explora avec délicatesse le trou du cul, seulement un passage. Mon bite écimait hautain maintenant et dès que recourbé à l'insù avec le frenulo qui tendait de manière spasmodique l'étui qui rhabille la bite au repos. Je me retournai en leur montrant la bite dur et tendu. Adele avec un sol geste défit les bretelles et l'habit de coton il roula sur si même à ses pieds, en la laissant nue. Je la tirai dans et je poussai figure l'à le mur, avec le douches au moindre: je visai décidé au trou de son cul. La bite, trempé pressait en les ouvrant un passage dans le muscle anal. Adele grognait et toute était parcourue par frémissements et il soupirait en absorbant les coups de bélier que je leur infligeais, poussé par la passion perverse. J'entrai avec difficulté considérable, au point d'au bout dans son cul. Elle je traverse la pression qui exerçait avec les doigts de la main sur mon bras, il me transféra toute le douleur et le plasir pervers qui entendait. Mon bite battait coulé dans l'anus étroit, il était presque endolori, j'eus claire la certitude qui perdais déjà sensibilité à la pointe de la bite. Puis j'avertis la pression clairement qui était en train d'exercer à la base de la bite, en comprimant les vases extérieurs sanguins du pénis qui piégeait sang dans le corps spongieux, en lui faisant gonfler de manière enorme. Atteindre l'orgasme de manière possible plus rapide était le secret qui pouvait éviter la tragédie absurde de nous exposer au public risée. J'ouvris l'album énorme mentalement imprimé photographique dans ma mémoire, à la recherche d'images féminines qui pussent favoriser l'éjaculation sans mouvement excessif du pénis qui ne pouvait pas se remuer plus maintenant. Adele tremblait secouée par les frissons de terreur de la peur de la honte publique,; il secouait la tête de côté en la frottant longueur les carreaux trempés. Je la serrai avec douceur, en tâchant de leur donner une lueur de sûreté. Il était clair qu'il pleurait. La séquence d'images caressée par ma psyché donna le résultat espéré, la graine s'écoula aux flots douloureux pour moi, en pouvant la commencer phase convoitée de "nature réfractaire"; je tâchai de baisser le rythme du souffle, en le normalisant, il était fondamental de ne pas effleurer avec la pensée aucune chose ou j'argue qu'il concernât le sexe. Je lui parlai avec douceur en la calmant, je l'invitai à respirer plat et se détendre. Nous restâmes si lié pour quelques heures. Vous fatigue se faisait entendre jusque quand le pénis détendu s'écoula en nous libérant du lien affecté tout seul. La bite, flasque taché de rouge qu'il devint rose quand elle fut lavée par l'eau courante ailleurs. Nous nous savonnâmes et nous lavâmes avec soin; j'inspectai son cul et avec un soupir de soulagement je ne relevai aucune déchirure, il tenait probablement déjà quelques ragade anaux, qu'il s'était mis à saigner. Nous nous étendîmes sur le divan en tenant nous enlacé, encore nus; hors l'obscurité éclairée par les lumières de la ville, il nous dit que très tard il s'était fait. Avec son faîte regret je m'habillai pour revenir à la maison. en le saluer il nous me dit qu'il aurait voulu me parler d'une chose très délicate et qu'il demandait temps, mais surtout toucher. Nous nous saluâmes avec la promesse de le plus tôt possible nous revoir, sauf l'activité ouvrable. 31/12/2007 Ilgobbetto.

Continue…… signé: ilgobbetto.