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venerdì 12 dicembre 2008

Une tante très, beaucoup de particulier. 1

Je connus ma femme ancienne que j'avais vingt ans dès qu'et elle vingt-neuf; là, en ce patelin du midi qui à peine connaissais, après quelque mois elle, Agnès, (nom conventionnel) commença à m'apporter en tour à connaître ses tantes et oncles, environ sept en tout! Celle-là qui cependant il frappa ma curiosité il fut zì Erminia, soeur la plus jeune de ma belle-mère. Tout de suite elle résulta sympathique, ouverte et accommodante. Tu donnes manières tu expédies et du parler au dir peu coloré, il entrecoupait les phrases avec des épithètes type "ce zoccola" ou "route en cul, et il ancre bocchinaria, ce n'est pas une faute propre bocchinaria. Certainement pas depuis les premiers moments, mais au fur et à mesure que la connaissance s'approfondissait, et les frequentazioni se succédaient, elle se lançait à la roue libre en bas pour langages obscènes qu'ils feraient pâlir un débardeur de je porte, sans offenses pour la catégorie, mais c'est seulement une manière de dire colorée,; pour mon partie, habitué aux rigueurs de l'institut religieux qui m'avait accueilli de petit et formé, ce parler me séduisait en m'introduisant en zones de la perversion des inconnues tout. À ceci j'ajoute qui souvent les postures du cher zì Erminia étaient tels à laisser apercevoir parties amples des cuisses blanches et sans quelques-uns défaut, quand il s'asseyait sur le bas banc par exemple en jardin, ou si pente restait, de derrière ils se voyaient les jambes jusqu'à en lui changeant en blanc et coups de torchon, malgré les siens cinquante-sept ans sonnés et la jambe gauche qui la contraignait à claudiquer, de manière légère, mais caractéristique; il faisait attention à la maison et il assistait à un potager de respect tout. Malheureusement pour elle, après quelque an que nous nous connaissions, zì lui mourut Pietro, homme doux et père de famille irrépréhensible, travailleur et avisé. Le tremblement de terre et les lenteurs bureaucratiques ne lui avaient pas permis de réparer la maison qui avait subi quelques je donne, mais pas structural pour lequel se décidée à en parler avec moi, que je travaillais dans le bâtiment depuis des années. Nous nous accordâmes pour que pour économiser le tout j'aurais exécuté les travaux le samedi, jour que je ne travaillais pas en chantier, le frequentazione devint ainsi assidu et les confidences les plus étroites et sans tabou, terme dont zì Erminia a toujours ignoré l'existence. Un samedi de juin fin, vers le soir, terminé le travail de ce jour il m'invita à me prendre une douche, là, dans le jardin, dans un angle abrité, exprès équipé. J'eus la sensation ou l'espoir, d'être observé, la pensée seule me pénétra d'excitation. Et, dessous nu le jet d'eau je m'agitais, avec le pénis droit et scappellato qu'il battait à droite et à gauche sur les hanches dans cette danse démonstrative. Je ne savais pas si j'avais eu spectateurs ou mon imagination avait été seule, je m'essuyai, et rhabillé, je rencontrai zì Erminia pour la saluer, elle restait séance sur le banc devant la cuisine avec la jambe étendue gauche et les mains qui la massaient en coulant sur et en bas pour la cuisse, avec la jupe tirée merveilleusement là-haut, en même temps turpiloquiava à toute volée et sans freins. J’ai assure compassion et je m'offris de l'aider, je lui demandai s'il avait une crème anti-inflammatoire, et eue il en positif confirme je la contraignis à se lever et je l'accompagnai dans la chambre contiguë au rez-de-chaussée, où il y avait un divan lu. Elle à quatre pattes s'étendue sur le divan et soulevée la jupe je commençai à masser la jambe florissante et de la splendidement peau lisse, mes mains ils se remuaient en synchronie sur et en bas pour la cuisse de zì Erminia. Je commençai à m'exciter, et ceci m'induisait à monter de plus en plus en haut, jusqu'à toucher et heurter le cul et la chatte de la vieille tante; je restais déjà exité de peur avec la bite dur qui battait de propre vie, dans le mouvement, mon bite dur vint en contact par mégarde, avec sa jambe, peu de dessous la courbe du genou je discostai par instinct, mais à la course suivante de la main droite quand celle-ci heurta la chatte, son bassin s'arc-bouta dans un geste d'invitation ouverte à reculons; la vue se brouilla, le feu qui partait des balles et il montait dans le dos tour à tour me flamba la tête, je me frottai avec vigueur appuyée sur la cuisse sous de moi, et ma main inspectait son chatte après avoir écarté les slip, elle haletait et il s'offrait d'une façon obscène, ma main que il gratait sa fente était poissée ses poils de couleur avec tendente noir mixte au gris et blancs, imprégné d'humeur colant et demi-transparent, du vent décidé, typique du sexe des filles exitè. Je la baissai du divan en la mettant par terre , je lui ouvris la chatte et j'introduisis la bite je grille et ouvert de la lequel sommité dégouttait quelques larmes lubrifiantes. Le gland transbordait de la hampe avec une épaisseur considérable, presque une chapelle de champignon la pénétra avec lenteur en rencontrant une résistance inattendue, mais agréable, elle soupirait, il soufflait et il m'apostrophait avec "cochon je génère de zoccola, tu fais plat, cassé en cul etc..." mais à la fin je le lui fourrai dedans pour bien tout, en la tenant arrêté pour les hanches je la bloquai j'arrête pour longue minute, elle tordait le cul gros et énorme que la nature lui avait donné en cadeau, j'avertis les contractions rythmiques de la vulve, puis j'interrompis le jeu et sans préavis et de déclenchement je le sortis, le fica gargouilla et d'il égouttait là purin, le même dont mon cazzo était imprégné, la tante je hurle et il souhaita, je lui appuyai la chapelle grasse de liquide féminin devant le trou du cul, en exerçant seul une pression légère, elle je tressaute et il me menaça, en me défiant à ne le pas faire, il m'appelait "stronzo je génère d'une coopérative de gay" je la matraquais le derrière et le cul énormes avec la bite au mò de massue, et quand décidés qu'il s'était essuyé pour je visai bien décidé, au chatte et brutalement je le coulai de coup, au même temps la chatte j'éclabousse sur mes balles et il fit un son semblable aux scorregge aussi! La tante hurla et il marmonna comme une bête en battant de-ci de-là la tête et il disait "stronzo gay, tu es un animal, cochon dégoûtant!" maintenant le baise avec rythme régulier qui en cherche le moment culminant, par conséquent il avait soulevé une jambe en étayant sur le bord du divan, je réussissais ainsi à pousser plus au fond dans elle, le gland il était enflammé et en proie à l'orgasme imminent, je me poussai fort dans en la saisissant fort pour ses hanches, pendant que le sborra courait rapide dans le canal adducente je n'entendis pas ce qu'il disait la vieille, j'étais perdu, et sûrement je hurlais aussi, comme je fais d'habitude pendant que baise et sperm dans une fendue. Nous restâmes ainsi encore pour différent temps, avant d'extraire de son corps la verge en retraite, le flot il sperm s'écoula du chatte, en salissant le plancher et l'intérieur de ses cuisses, il se leva et pris qu'il eut un chiffon propre, il me nettoya la bite, mais il continuait à le palper et le serrer, il se nettoya le fica après en souhaitant. J'avais eu un rapport de longueur temps rêvé et désiré, maintenant j'étais là que je m'habillais, après avoir aussi accroché au carniere personnel cette fille, mais je n'avais pas fini avec elle. En revenant à la maison en voiture, est-ce qu'ils me passaient pour l'esprit les phases qui avaient culminé avec le baisement de zì Erminia, qui lui aurait jamais dit? Je l'admets elle avait été une avalanche de perversion pure pouvoir elle de remplir la chatte de sperme tout dans elle.
CONTINUA

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