Visualizzazioni totali

venerdì 12 dicembre 2008

Deux annè au Matabeleland 1

La convocation me joignit quand je ne nous espérais pas maintenant plus. Mois j'avais fait avant demandé, de déplacement au bureau du personnel de l'usine où je travaillais d'au-delà dix ans. L'usine s'occupait et maintenant il s'occupe tout, du travail de l'aluminium primaire, et dans le Matabeleland, il y avait une succursale qu'il opérait en synergie avec le siège italien. Les cinq jours de préavis, les passés dans les préparatifs, dans les acquisitions qui n'aurais pas pu faire dans ce pays.
L'avion se leva en vol en passant sur les toits de la banlieue de Rome, direct au sud. Il traversa le trait de mer qu'il sépare la Sicile de l'Afrique en peu de temps, puis en bas, le long du noir continent, direct à l'escale premier: Le Caire, en Egypte, puis à Khartoum dans le Soudan, donc au Kigali, et enfin à Harare dans le Zimbabwé destination finale de mon voyage. De l'aéroport de la capitale, en train même au Kodoma, d'où avec des vieux demi de transport on atteignait Umguza, une petite ville mixte de gratte-ciel, maisons coloniales et baraques, semblables aux taudis des favelas brésiliens.
L'usine entourée et écran surveillé était moderne; le long de la rue, file de poids lourds, quelques-uns à moi de marque inconnue attendait leur tour pour charger ou décharger. L'esplanade intérieure était encombrée de piles de gros hauts-de-forme d'aluminium, longs tu es environ ou sept mètres. du diamètre de vingt ou peu plus centimètres, autour à qui grue et chariots élévateurs étaient occupés à la charge des demi, autres par contre, charges de minéral terreux entraient et ils sortaient déchargements en. Dans cette confusion chacun l'attendait au devoir assigné sans flâner comme on peut souvent, assister dans les postes de travail en Italie. J'ambientai en bref temps grâce à les gens qui opéraient déjà en usine dont une de la province de Cosenza, aimable et sociable, beaucoup qui commençâmes à faire couple fixe, en l'après travail et qu'il me fit à cicérone.
Après quelque semaine le sujet sexe vint à la rampe, car le manque de rapports exigeait la contribution dûe. Nuccio, diminutif de Carmine, il se prodigua à me mettre sur le qui vives en ce qui concerne les rapports avec les résidents. Les maladies, les contagions la prostitution, la contrebande de tout puisse avoir un bien que moindre valeur.
Nous sortions quelque soir pour le tour des pièces sûres, peut-être à la recherche de viande blanche" pour le lit. Résulté: zéro! Viande blanche unique était habillée d'habits talari (!), et dans les associations de volontariat le sexe, totalement bandit, mon Dieu, tous tendus à se racheter l'âme! nous nous tînmes lointains de ces cercles visqueux comme la poix.
Un soir dans la pièce habituelle, à la partie les prostituées baby, une blonde mûre détachait là en demi comme neige sur le sommet d'une montagne. Nuccio l'accrocha facilement, le peu d'Anglais à notre disposition permit y de passer une soirée différente. Maggie se révéla ouvert et dépourvue de préjugés inutiles. Attribuée un titre universitaire au Liverpool University, en anthropologie et biologie, il l'avait aussi difficulté en le fréquenter amitiés masculines en ayant horreur pour problèmes de goûts les autochtones. Il avait repoussé rapports avec des hommes noirs, il ne cherchait pas les dimensions dans le sexe, plutôt il s'abstenait son, et en le lui dire il nous tenait à souligner qu'il en ne faisait pas un problème racial. Vous était, il nous dit, contentée de quelques rapports lesbo avec blanches, mais rien noir.
Tard il se fit, Maggie nous dirigea près de son domicile que cependant il était à quelque kilomètre éloigné, hors ville, direction Kwekwe, la grosse Jeep voyageait en courant le long des rues poussiéreuses et désertes à la vitesse forte. Maggie, dans la pièce on était égoutté différents drink, mais il va de soi qui était une routinière; Nuccio la palpait, assis à sa hanche et il m'invitait à leur palper encore les tétons durs, malgré l'âge mûr. Maggie guidait en soupirant dessous fort l'effet des caresses des deux, celles de Nino ils étaient de certain plus audacieux, beaucoup qui maintenant avec une main, sur la chatte. Nous joignîmes à la destination environ dans une paire d'heures. La maison était en style colonial, peinte de blanc, immergée dans l'obscurité de la nuit africaine; la banlieue de Lupane n'était pas très différente de nombreuses autres banlieues du monde, mais celle-ci avait en plus le fait qui ne vivait pas de propre lumière, mais du ciel éclairé en éloignement du riche centre citadin, ceci détachait la maison de paysans de l'obscurité environnante.
Nous entrâmes en maison précédée par Maggie, tout de suite en montant à l'étage supérieur, en laissant les lumières alluma le long du trajet, la jeep, arrêté de bancal devant l'entrée, la porte fermé sans vous envoyez. Le perron en bois avec balustrade du même matériel était pas en conditions excellentes. L'étage supérieur se composait différents milieux, la chambre à coucher, le couloir montrait sur le derrière au bout de, premier de celle-ci, un salon et une salle à manger, un salon avec un balcon ouvert, qu'il donnait sur le côté antérieur du bâtiment. Nous nous jetâmes sur le lit en laissant les habits éparpillés pour la maison, Maggie il se donnait aux deux, et pas parce qu'en proie aux fumées de l'alcool, mais, et affamée de sexe avec des hommes blancs n'importe pas surtout, si Anglais, Américains ou peut-être quel nationalité pourvu que blancs de peau. Certainement nous italiens nous ne pouvions pas nous dire blancs, le soleil africain il nous brûla en nous bronzant, mais parbleau, nous étions toujours aussi blancs!
Maggie nu, ouverte il restait sur Nuccio, la bite fourré dans la chatte blond m'offrait les fesses, j'infoiato de la longue abstinence, je léchai le cul et prudent je leur enfilai dans le pénis. le baiseè pendant qu'elle passait sur Nuccio la luxure de la pénétration double. Après peu minutes, en ne pouvant plus maintenir l'orgasme, donne la longue abstinence, je me relaxai au flot du plaisir et les je versai le sperme dans le cul. Il se détendit à peine la bite, il s'écoula du trou, je me rendis dans le bain voisin pour me laver dessous l'eau courante, pendant que Nuccio claquait la bite dans la chatte de Maggie, je les entendais dévider, hurler, les inciter à l'événement.
Le bruit frappa net mes oreilles, malgré le vacarme qui produisaient, parcouru le couloir nu avec le pénis ,penché qu'il claquait entre une cuisse et l'autre, jusqu'à le le balcon du salon, je me montrai circonspect avec le coeur en gorge, devant la jeep, une auto détraquée mise de travers avec les portières grand ouvertes évidemment éclairée par la lumière provenante de la porte d'entrée ouverte. Je me demandais chose il fût en train de succéder, pendant que je rangeai les idées, avec mille et mille conclusions dans la tête, un coup d'arme de feu retentit dans la maison. Les cris horribles de Maggie me blessaient les oreilles. La terreur me bloqua, polis perdus se sentaient un ver, nu comme un ver, sans défense quelque. Peu instants, pour rétablir le contact avec la réalité: il raisonne, il raisonne, il pense, mon Dieu, pense. Je laisse ici y les stylos!
Maggie criait, il hurlait mots qu'elles semblaient disjointes, entremêlées aux hoquets, mais il n'avait pas fait mots de ma présence.
Il pensait peut-être que je fusse mort!
De Nuccio je n'entendais rien, ni une plainte, ni mouvements de pas sur les planches du plancher. Il était sûrement mort. Le bruit de ferrailles jeté dans un sac je compris qu'ils étaient en train de voler la maison, mais de Nuccio non plus une plainte.
Le coup d'arme de feu devait l'avoir tué.
Je lorgnai en faisant montrai dans le couloir. Une silhouette noire avec un sac en épaule et un pistolet en main enfourchait les escaliers; dans une autre pièce Maggie et un autre individu discutaient en afrikaans et ils hurlaient de manière très excité sans que je pusse comprendre une virgule de la prise de bec. Je reculai, il ne m'avait pas aperçu. Pas lourds en bas pour les escaliers, puis au soudain un bruit sourd sourd et un autre coup d'arme de feu. Il crie cris et rappels en dialecte africain, en contemporaine avec les cris de Maggie.
Je montrai dans le couloir; loin les ombres de deux illustrations projetées par la lumière de la chambre dans le couloir me firent comprendre que je pouvais gagner les escaliers. En bas pour les escaliers, sur la galerie avec une marche cassée, un noir je reverse encore avec un sac et l'arme dans la main dans une mare de sang. Je le sautai, j'atteignis le pian terrestre, je cherchai quelque chose à mettre en dos. Rien, entre temps Maggie et l'autre homme étaient descendus, je me cachai derrière une tenture lourde, devant moi au mur, un gros bouclier et une lance matabele suspendus en belle exposition. Deux mètres je jugeai jusqu'à le le mur, deux mètres et je pouvais saisir une arme, une arme jamais utilisée et sans aucune expérience de lutte ou je contrarie corps au corps. Je n'avais pas de choix, je fis un saut et en allongeant les mains prises l'arme en revenant derrière la tente. Le type avec la gauche Maggie tenait avec un bras derrière tordu le dos, il la traînait en visitant le rez-de-chaussée il avait dans la main droite cependant un pistolet, un vieux Mauser encombrant mais efficace. Maggie s'attarda une fraction de seconde dans la chambre, protégée par le mur, le type avait le pistolet baissé sur la hanche. J'étais sûr, je partis avec la lance en il reste, je choisis de ne pas lancer l'arme, je n'avais pas quelque certitude du résultat, la lame de la lance excessive avec toute ma force pénétra entre l'omoplate et la colonne vertébrale, il écarta une côte et il se fourra dans la viande pour entière, le type on paralysa en vibrant et en vomissant sang. Il tomba en genou et puis en bas bouchées sur le plancher.
J'avais tué un homme! J'étais un assassin! Maggie libéré le de la prise, il vomissait le whisky et les contenu de l'estomac à son tour. Avec un chiffon j'enveloppai une machette prise par le mur, et avec celui-là je tronquai le bois de la lance qui portait mes empreintes digitales net. Je rompis la lame de la machette dans un encastrement. Je saisis Maggie et le reste des armes avec mes empreintes, le sac sur la galerie et je la traînai vers la jeep. Je laissai la maison avec trois cadavres, après avoir donné feu à une tente. Le feu se répandit rapidement, de la jeep en éloignement, j'apercevais la vieille maison de paysans qui la dévorait maintenant entièrement. Je poussai la jeep avec du Maggie de hanche nue comme nu j'étais je, à toute vitesse en m'intimant de par la suite réfléchir; nous parcourions la savane en fendant avec les phares l'obscurité je pile, Maggie donna signes de recouvrement, il commença à échanger quelque phrase, puis il se mit à dormir en baissant le dossier. La luminosité de l'aurore, en éloignement il montrait l'étendue de la savane et plus tard j'aperçus sur la gauche une tache nette se dresser sur l'étendue herbeuse plate. Il devait être un bois, je dirigeai l'auto, dans cette direction, en confiant dans la couverture des arbres qui m'auraient caché d'examens aériens probables. Plus tard quelque heure nous nous enfoncions dans le coeur du maquis au point de presque aux bords d'un petit fleuve tranquille. J'arrêtai le moteur de l'auto, bien fermé les portières avec le bloc des sûres m'accordées peu heures de sommeil. Le mouvement de Maggie me réveilla. Il manquait à dix heures peu, les animaux sauvages s'étaient abreuvés tous: proies et prédateurs. Nous attendîmes encore un peu de temps avant de nous hasarder à sortir de l'auto dehors. Maggie observait du marchepied de la jeep autour, j'avec un des deux bidons de la voiture, (l'autre était demi crue d'essence, descendu sur le bord du fleuve. L'eau courante s'était éclaircie, mais rien nous assurait qu'il fût potable. Il servait y pour nous laver, puis nous aurions pensé pour boire. Derrière, en le vain de l'auto, il y avait une paire de bouteilles d'eau minérale et un paquet de biscuits secs. Nous récupérâmes un reste usé ample de vieux draps, et coupé en deux nous en dérivâmes autour d'une couverture courte le les hanches pour les deux. Nous nous lavâmes, nous lavâmes le sang éclaboussé ailleurs j'adosse à moi et au Maggie, pendant que je frappais le type dans le couloir; je remplis le bidon de nouveau pour environ vingt litres, je la fixai sur le petit toit de la jeep, sur le porte-bagages en métal. La longue exposition au soleil africain l'aurait portée à la température de certain supérieur aux cinquante degrés centigrades, ceci il pouvait rendre potablel'eau, mais sur les organolettiche caractéristiques il y n'avait pas garantie quelque. Plus tard nous aurions usé quelques bisciut de l'escorte, puis nous fîmes le point de la situation.
- Chose maintenant nous ferons? -
Maggie demanda, en les essuyant la bouche comme s'il eût peut-être usé quel plat.
- Nous ne pouvons pas revenir en arrière, chérie, ceci est un pays de noirs, et ici "les extra nous sommes nous blancs. Dans ton domicile ancien il y a en outre deux cadavres noirs et un nu blanc, qu'il manquera à l'appel de mes collègues de travail! Il ne sera pas facile de faire avaler la vérité aux autorités qui seront plus enclins à penser qu'une nuit de sexe avec les deux gros negre soit finie au putain et qu'un coup de jalousie soudaine ait poussé l'assassin à agir, et cet je pourrais être je même à être inculpé!
- Mais tu as mis le feu à la maison, je ne crois rien je sois resté dans cet enfer que tu as engendré, les os seront demain matin visibles non plus.
J'acquiesçai d'un signe de la tête et j'ajoutai qu'ils auraient peut-être considéré morts nous tous dans ce bûcher terrible restaient le mystère de la jeep cependant, mais de celles-là en volent à foison en Afrique.
Le soleil africain brûlait le paysage tout d'autour et, le bidon exposé sur le petit toit de la jeep bouillonnait presque au toucher avec la main, j'avais voulu m'assurer. Caché à l'ombre des mopani, nous sommeillions au tour, demi nus, dans l'auto pour ne pas faire nous surprendre des foires.
Nous aurions la nuit voyagé, au frais, en côtoyant le fleuve pour ne pas rester sans eau.
Ce soir qui en défile des bouts de fer trouvé par le parapluie dans le coffre de la jeep, je mis une espèce d'arc rudimentaire ensemble, en utilisant une branche flexible et droit plié à l'arc en utilisant peut-être un bout de fil d'accélérateur comme fini dans la malle. Je l'essayai et le résultat ne fut pas enthousiasmant, je devais nous travailler sur et trouver une branche plus élastique. C'était une ancre cependant psychologique de salut: nous possédions une arme! Le sommeil réparateur et la fatigue eurent l'avantage. CONTINUA

Nessun commento:

Posta un commento